SUCRE, FARINE, COULEURS ET PLAISIR
Les compétitions culinaires ont la cote au petit écran. Les téléspectateurs sont nombreux devant leur télé pour voir ces chefs, amateurs ou professionnels, relever toutes sortes de défis et soumettre ensuite le fruit de leur labeur à des juges. Les compétitions culinaires qui mettent de l’avant les créations de desserts, de pâtisseries et autres plaisirs appréciés par les becs sucrés plaisent encore plus. Y a-t-il quelque chose de plus tentant que de voir un beau gros gâteau réalisé de main de maître? Difficile de résister à l’appel du mélangeur et de la tasse à mesurer! Et on aimerait aussi être à la place des juges, même quand ce n’est pas tout à fait réussi! La compétition culinaire Le meilleur pâtissier du Québec, une adaptation du concept original Bake Off, nous transporte sous un grand chapiteau érigé à la campagne où une dizaine de cuisines ont été installées. Derrière les tables de travail de celles-ci se trouvent autant de pâtissiers amateurs de partout au Québec, prêts à tout pour remporter les honneurs. À travers leur travail de création et la réalisation de défis, on en apprend un peu plus sur chacun d’eux, ce qui amène une touche plus personnelle à la série animée par deux becs sucrés avoués, Marie-Eve Janvier et son complice et ami Joël Legendre. Gaël Vidricaire et Joël Lahon, deux professionnels de la pâtisserie, agissent en tant que juges. Qui remportera la tentante compétition? À voir à Zeste le mardi à 20 h dès le 25 octobre. Qui sait, peut-être trouverezvous au passage de l’inspiration pour un beau gros gâteau d’Halloween bien décadent!
tant qu’artistes. Malheureusement, ça s’est terminé. Cette élimination a été difficile à encaisser pour moi. Mais je pense qu’il fallait que je travaille sur moi, sur qui je suis, et ça me fait revenir plus en force aujourd’hui.
Qu’est-ce qui a changé durant les quatre dernières années?
J’ai maintenant 25 ans. J’ai vieilli et mûri. Je pense avoir appris à mieux me connaître, à savoir qui je suis et ce que je veux. Sur le plan artistique, je pense qu’il y a une grande différence entre la saison 1 et aujourd’hui.
Pourquoi avez-vous choisi de faire du krump?
J’ai baigné dans le milieu de la danse depuis que je suis bébé. Mon père a commencé à danser dans la rue, puis il a fait du commercial et de la télé. Il m’amenait souvent sur les plateaux de tournage. C’est 7 Star, un ami de mon père, qui m’a pris sous son aile à un moment donné. Il m’a montré les bases du krump, et j’ai eu la piqûre. C’est un style qui me correspond bien et que je veux pousser plus loin. Je dois beaucoup à 7 Star. Il est encore mon mentor aujourd’hui.
Qu’avez-vous retenu des commentaires des maîtres?
J’ai aimé ce qu’ils m’ont dit après ma performance. C’est ce que je voulais entendre, le fait qu’ils aient vu que j’avais grandi en tant qu’artiste et que je suis rendu ailleurs. Je ne veux pas les décevoir, et c’est mon devoir de continuer à me dépasser. Je veux montrer ma vraie couleur au public, et je pense qu’il est temps pour moi de prendre mon envol.
Avez-vous de la facilité à trouver les moments Révolution?
En solo, c’est vraiment différent. Je pense qu’il faut y aller intelligemment, tout en étant stratégique. Parfois, il suffit de laisser aller l’émotion à travers l’image qu’on met dans la Révolution. Mais j’avoue que trouver des images qui sont à la hauteur des attentes, c’est peut-être l’aspect le plus difficile de revenir en solo.