«C’EST UNE FEMME QUE J’AIMAIS BEAUCOUP»
– Geneviève Rochette
GENEVIÈVE ROCHETTE PORTAIT DEPUIS LONGTEMPS EN ELLE LE PROJET DE LANCER UN PREMIER LIVRE POUR HONORER SES RACINES GUADELOUPÉENNES. DANS UN RÉCIT TOUCHANT ET IMAGÉ INSPIRÉ DE SA GRAND-MÈRE MATERNELLE, LA COMÉDIENNE NOUS OFFRE UNE HISTOIRE QUI, AU DÉPART, N’ÉTAIT PAS DESTINÉE À DEVENIR UN ROMAN.
OFILAO,
crise sociale à propos de son statut identitaire. Geneviève s’est d’ailleurs rendue en Guadeloupe quand l’idée d’écrire un roman lui est venue, pour aller dans le village où sa grand-mère est née, s’imprégner de la culture antillaise et faire des recherches sur ce pays où se trouvent ses racines.
Sa fille, Kim, 27 ans, est elle aussi habitée par ce même sentiment à l’égard de la Guadeloupe. «Elle travaille sur un projet de docufiction en lien avec ses racines guadeloupéennes. Elle parle de sa tri-insularité, parce qu’elle vit aux Îles-de-laMadeleine, qu’elle vient de Montréal et qu’elle a des racines de la Guadeloupe.» Quant à son fils, Victor, 18 ans, il est issu de sa relation avec son conjoint, le producteur Antonello Cozzolino. Ça fait 20 ans que Geneviève et lui sont ensemble et 19 ans qu’ils sont mariés. «Mes deux enfants n’ont pas le même père. Celui de Victor est italien, et j’ai l’impression qu’il s’identifie plus à l’Italie qu’à la Guadeloupe. Moi, c’est beaucoup la mort de ma grand-mère qui m’a fait prendre conscience de mes racines guadeloupéennes et comprendre à quel point je tenais à les garder vivantes.»
À la fin du mois d’octobre, l’actrice a commencé les tournages de la deuxième saison de la websérie Moi, j’habite nulle part, portant sur la violence faite aux femmes. «Je pense que c’est important d’en parler, parce qu’au Québec, c’est une réalité qu’on ne peut pas nier. Je joue une intervenante sociale.» En parallèle, elle travaille également à terminer sa maîtrise en histoire.
JO CORMIER EST UN ÊTRE À PART DANS LE MILIEU DE L’HUMOUR. IL EST COMME UN PHILOSOPHE UN PEU FOU ET ABSURDE, TOUJOURS VÊTU DE FAÇON HASARDEUSE, AVEC DES QUESTIONS ET DES RÉFLEXIONS EXISTENTIELLES QUI DÉCLENCHENT LE PLUS SOUVENT DES RIRES. C’EST SURTOUT UN ANIMAL HUMAIN TERRIBLEMENT ATTACHANT.
Jo Cormier s’est surtout fait connaître auprès du grand public en faisant les premières parties de Mariana Mazza en tournée. «J’ai eu la chance de faire plein de salles avec des publics différents et toujours dans un contexte où on ne m’attendait pas. Ça m’a permis de me faire les dents et aussi de vivre le stress d’une première, puisque j’étais là pour Mariana à L’Olympia.» Sa première à lui, celle de son spectacle Animal, est prévue pour le 8 novembre. «Je pense que je ne serai jamais totalement prêt. Je fais mon travail dans le moment présent. Quand on rit, on ne réfléchit pas, on vit entièrement dans le moment présent. Je vais me lancer dans le vide et voir comment les gens réagiront à mes blagues.»
Quand on lui demande de décortiquer son humour, le natif de la région de Trois-Rivières hésite. «J’ai de la misère à me définir, dans la mesure où mon personnage de scène est pas mal ce que je suis dans la vie, en version un peu exagérée. Je pense que mon humour est drôle et qu’il me ressemble. Si tu ne comprends pas ce que je dis sur scène, tu vas avoir du mal à comprendre qui je suis. Mon humour est celui d’un jeune homme qui a des choses à dire, qui a envie de bien faire les choses, qui est passionné et qui aime oser. Je suis un humain animal qui fait de l’humour, très vulnérable et en symbiose avec son public.»
UNE TÉNACITÉ À TOUTE ÉPREUVE
Si Jo n’a pas fait l’école de l’humour, ce n’est pas parce qu’il ne voulait pas. «L’école de l’humour m’a refusé à trois reprises. Je suis un grand échec pour eux; ils ne voyaient aucun potentiel en moi. Je pense que j’étais un peu trop arrogant
SIMON OLIVIER FECTEAU
MESSAGE À TOUS CEUX QUI ME SUIVENT! J’approche les 14 000 «followers»: abonnez-vous à ma page pour ne rien manquer! Plus on est de fous, plus on rit!
JEAN-MARIE CORBEIL
Coucou du mardi 25 octobre amises et amis! «Notre environnement et notre attitude sont le résultat de nos choix.» (Daniel Desbiens) Même si cela ne paraît pas tant, posons un petit geste bienveillant envers notre planète et nous changerons le monde. Notre monde.
Et celui des générations qui vont nous suivre.
Pour le meilleur. Oui, c’est possible et il n’est pas trop tard.
Il n’en tient qu’à nous de produire les bonnes actions. Pour notre bien-être et celui de nos enfants. Bonne journée! Namaste x
JEAN-MARIE LAPOINTE
Accusez-moi de mauvaise foi, mais je suis sûr à 99 % que certains restos à déjeuner ont un employé qui est là juste pour s’assurer que personne ne beurre tes toasts pendant qu’elles sont encore chaudes. «Parfait! Les toasts sont frettes pis dures, c’est le temps de les beurrer et de les apporter au gars là-bas!»
PIERRE HÉBERT
Question sincère: Pourquoi les chantiers de travaux routiers ne sont pas 24h/24? Au moins sur les artères principales?