Crossing the Line—Point de bascule
Of all the invisible lines we cross, the equator is the most exciting. De toutes les frontières invisibles qu’on franchit, l’équateur est la plus fascinante.
I have crossed the equator more than 50 times, and I always look at the navigation computer displays as we count down to zero latitude. For me, flying over the hemispheric boundary is a navigational thrill that few people get to experience. It also means we can be swapping winter for summer: Australia can be basking in heat while it’s -40°C in Winnipeg, and a July flight to Chile can mean a reunion with ski season. And a bonus of flying in a north-south direction is the lack of jet lag: A 10-hour flight may stay within a single time zone, so your built-in clock won’t miss a beat.
Weather fronts are rare near the equator – it’s just one hot and humid air mass. Tropical storms J’ai franchi plus de 50 fois l’équateur sans jamais manquer de consulter l’ordinateur de navigation à l’approche de la latitude zéro. Changer d’hémisphère est un plaisir de la navigation que peu de gens connaissent. En outre, c’est la possibilité de passer de l’hiver à l’été : l’Australie peut cuire quand il fait -40 °C à Winnipeg, et aller au Chili en juillet permet des retrouvailles avec le ski. En prime, un vol nordsud est exempt de décalage horaire : un trajet de 10 heures dans le même fuseau horaire n’affectera nullement votre horloge interne. Il y a peu de fronts météorologiques près de l’équateur, juste une masse d’air chaud et humide. Les tempêtes tropicales et ouragans (ou typhons) ne le