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La PrEP et la PPE
La prophylaxie pré-exposition (la P PrEP),EP) comme ellell faitf it lal une ded beaucoup de publications, est bien connue d’une grande majorité des répondants au sondage, peu importe leur statut sérologique, mais certainement plus connue chez les séropos et moins connue chez ceux qui ignorent leur statut. La PrEP score relativement bien aussi chez tout le monde en terme de perception de son efficacité.
La prophylaxie post-exposition (la PPE) semble un peu moins connue de tous les groupes mais, encore, plus connue chez les séropos. Ceci est une prise de traitement pendant un mois après avoir été exposé à un risque de transmission du VIH qui doit être initiée moins de 72 heures après l’exposition (le plus tôt possible pour plus d’efficacité). Il était clair lors de nos discussions qu’il y a beaucoup de travail à faire pour que la PPE soit mieux connue de tous et puisse prendre sa place comme stratégie de prévention.
Problèmes d’accès aux services
Le sondage questionnait les répondants sur leurs besoins et accès à plusieurs types de services, dont le dépistage, la PPE, la PrEP, le suivi d’une infection au VIH (séropos seulement), les services en lien avec la sexualité, les services en santé mentale et les services en dépendance, pour n’en nommer que quelques-uns.
La bonne nouvelle pour les séropos dans les résultats est que leur engagement plus intensif dans le système de la santé se traduit souvent en plus d’accès aux soins. À titre d’exemple, le dépistage pour les ITSS se fait dans le contexte du suivi médical régulier d’un séropo. Ce besoin de dépistage était donc comblé chez tous les séropos. Si on considère les services en santé mentale (y compris la dépression), le besoin ressenti était beaucoup plus élevé chez les séropos que chez les autres, mais le niveau de besoins non-répondus était nettement inférieur, ce quiq qui signigifie signifie que les séropos qui ressentent le besoin de consulter en santé té mentaletl réussissenté i t plusl souvent à accéder à un service. Il y a clairement des avantages à bien connaître le fonctionnement du système de santé et d’y avoir des entrées.
Le groupe avec le moins d’engagement dans le système de la santé est celui des répondants qui ignorent leur statut VIH, ce qui n’est pas une surprise. Mais ce désengagement se traduit aussi en difficultés d’accès à une panoplie de services.
D’autres barrières d’accès aux services ont été identifiées, notamment les coûts de certains services et les heures de disponibilité qui ne convenaient pas aux horaires des gens qui voulaient y accéder. Ces barrières étaient assez semblables entre nos trois groupes de répondants, mais une barrière était plus prononcée chez les séropos et chez ceux qui ignorent leur statut : la honte et la peur d’être jugé. Ceci était particulièrement marqué en termes de services de dépistage, où notre groupe de discussion présume que les séropos anticipent d’être jugés d’avoir couru un risque d’attraper une ITSS, même en l’absence d’un risque de transmission du VIH en raison d’une charge virale indétectable. Nous présumons que la différence entre les gens qui ignorent leur statut et les séronégatifs sur cette question est que ces derniers ont réussi à intégrer des tests réguliers dans leur routine, alors que de demander un test hors routine pourrait être perçu comme le fait d’admettre une prise de risque.
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Nous sommes fiers de l’accessibilité de nos activités d’interprétation des données de MOBILISE!. Si vous souhaitez avoir plus d’informations sur des activités futures, ou si vous cherchez plus d’informations sur les stratégies de prévention, contactez MOBILISE! via son site web au projetmobilise.org. KEN MONTEITH, DIRECTEUR GÉNÉRAL, COCQ-SIDA