D’ACCORD, PAS D’ACCORD
Gabriel Nadeau-Dubois, dans son essai « La fin des certitudes » (janvier-février 2021), présente des thèmes très pertinents, qui méritent une réflexion sérieuse. Toutefois, l’analyse qu’il en fait est loin d’être rigoureuse, particulièrement par rapport à la fiscalité. Les conclusions ne sont pas concordantes avec les faits énoncés. On trouve dans le texte beaucoup trop de pensée magique. Je suggère au lecteur de se fier davantage aux articles de votre chroniqueur Pierre Fortin pour comprendre les enjeux fiscaux et budgétaires.
FRANÇOIS LASNIER — LÉVIS
Intéressant, l’essai de Gabriel Nadeau-Dubois. Je ne suis pas un grand admirateur de GND, encore moins de Québec solidaire, mais le premier donne raison à Henry Mintzberg, professeur émérite à l’Université McGill et auteur de la théorie « anti-MBA ». Mintzberg se réclame du fait que le gouvernement n’est pas une business, et il a parfaitement raison. J’ajouterais que contrecarrer la « troisième certitude » est ce qui a poussé les
Britanniques à voter oui au Brexit. Bien que je ne sois pas d’accord avec lui sur les pistes de solution, GND a le mérite d’avoir défini la fin des certitudes avec précision. PIERRE ROCHEFORT — OTTAWA
MERCI À TOUS LES MEMBRES DE LA RÉDACTION POUR LES ARTICLES POIGNANTS ET PERTINENTS PAR LES TEMPS QUE NOUS VIVONS. NOUS NOUS SOMMES PARTICULIÈREMENT INSTRUITS EN LISANT « LES PERSONNALITÉS DE L’ANNÉE » (JANVIER-FÉVRIER 2021). NOUS COMPRENONS MIEUX LA SITUATION.
HUGUETTE ET RAYMOND DESGROSEILLIERS — NORTH BAY (ONT.)