Nous vivions dans un pays d’été, de Lydia Millet
En vacances dans une maison au bord d’un lac, des jeunes glandent, s’assurant de se tenir loin de leurs parents, qui s’enfilent cocktails et drogue en papotant. Quand une tempête s’abat sur la région, les adolescents ne peuvent compter sur leurs aînés, apathiques et désorientés. Déterminés à survivre, ils trouvent refuge dans une ferme abandonnée. Narré par la jeune Eve, le roman raconte comment un groupe aux forces insoupçonnées tente d’échapper au sort funeste qui semble le guetter. (Traduction de Caroline Bouet, Les Escales, 256 p.)