L'Argenteuil

FESTIVAL DE MUSIQUE ÉLECTRONIQ­UE À SAINT-ANDRÉ.

- FRÉDÉRIC HOUNTONDJI frederic.hountondji@eap.on.ca

Le parc Carillon à Saint-André-d’Argenteuil a vibré, du 26 au 28 juin, au son de la Techno et de l’Électronic­a. C’est à la faveur du Festival de musique électroniq­ue organisé par la compagnie Art-Innovation-Movement (AIM).

Une vingtaine d’artistes locaux et 35 en provenance de la France, des États-Unis, de l’Australie, de la Russie, d’Amérique du Sud et d’Afrique ont fait danser plusieurs jeunes, le tout dans une ambiance de fête, de joie et de gaieté.

Le but du festival est, selon son directeur artistique François Lebarron, de présenter une formule qui n’existait pas au Canada. « Ce que l’on voit, ce sont des festivals dans les centres-villes qui finissent à 23 h avec les mêmes programmat­ions, a-t-il souligné. Nous, on a pris un mélange de la vision d’Osheaga et le côté électroniq­ue de Burning Man Festival au Nevada », a expliqué M. Lebarron.

Il a ajouté que lui et son équipe voulaient voir les gens en liberté, échanger, s’amuser, relaxer dans la nature et avoir accès aux artisans et aux artistes. Faire rencontrer les musiciens locaux avec ceux de l’internatio­nal pour un brassage d’idées et de culture est l’autre objectif de l’événement.

André Jetté, maire de Saint-André-d’Argenteuil, s’est dit heureux d’accueillir le festival. Il a estimé que les organisate­urs ont respecté la quiétude de la population en mettant à un niveau jugé acceptable le son de la musique, ce qui, souligne-t-il, n’a pas perturbé la tranquilli­té des citoyens.

M. Jetté a annoncé, par ailleurs, que la municipali­té a signé une entente de cinq ans avec la compagnie AIM pour organiser le festival dans le village. Il a toutefois précisé que le renouvelle­ment du contrat dépendra du bon usage que les organisate­urs auront fait du parc Carillon. Ils doivent remettre le site dans l’état dans lequel ils l’ont pris, c’est-à-dire bien entretenu et propre.

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Une vingtaine d’artistes locaux et 35 en provenance de la France, des États-Unis, de l’Australie, de la Russie, d’Amérique du Sud et d’Afrique ont fait danser les jeunes.
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