Trouver sa place dans la francophonie mondiale
De la réussite scolaire à la construction identitaire, le plan stratégique de la DSFM dévoilé en 2016 couvre tous les aspects de la vie des élèves. La division scolaire n’oublie pas l’importance de la communauté qui entoure les enfants, et travaille pour développer un sentiment d’appartenance à cette communauté en chacun de ses élèves.
Développer un sentiment d’appartenance
et L’appartenance, de sécurité, explique c’est « un la sentiment directrice de de fierté la programmation aux élèves à la DSFM, Louise Legal-Perrin. Si je ressens que j’appartiens à un groupe, je peux vivre pleinement qui je suis. Notre rôle est donc de créer des occasions pour les élèves d’interagir avec d’autres jeunes francophones, de vivre de nouvelles expériences, de s’amuser en français et de s’épanouir ». Ce sentiment d’appartenance à la communauté est l’objectif du deuxième axe du plan stratégique de la DSFM. « Nous voulons que l’élève ressente une appartenance à son école, à la DSFM, ainsi qu’à la communauté francophone du Manitoba et d’ailleurs. L’objectif est qu’il puisse trouver sa place dans la francophonie mondiale. « En milieu minoritaire, ce n’est pas évident d’éprouver ce sentiment d’appartenance avec les autres francophones du pays et du monde, ajoute-t-elle, mais l’environnement scolaire joue souvent un rôle majeur. »
« Si je ressens que j’appartiens à un groupe, je peux vivre pleinement qui je suis. »
La clé selon la DSFM est de rassembler les élèves de différentes écoles lors d’activités divisionnaires. « On propose une variété d’activités à différents niveaux scolaires dans les arts, les sports, la culture ou le leadership, pour que l’élève puisse avoir des opportunités d’interactions tout au long de sa scolarité. » auprès Les résultats des élèves du pour premier mesurer sondage l’impact effectué des actions du nouveau plan stratégique sont positifs. « Dans l’ensemble, les élèves se sentent bien dans leurs écoles. Le sentiment de fierté est élevé. Ils sont en grande partie satisfaits des activités que nous proposons. Nous cherchons toujours à nous améliorer, et nous n’hésitons pas à nous appuyer sur leurs rétroactions des activités pour les réajuster et les enrichir », conclut Louise Legal-Perrin.