La Liberté

L’Office régional de la santé de Winnipeg réagit

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Madame la rédactrice, En réponse à la lettre Histoire d’un accoucheme­nt très pénible par Mme Orokiatou Sanou, publiée dans

La Liberté du 13 au 19 février, nous remercions Mme Sanou d’avoir partagé ses expérience­s. Nous regrettons que cette patiente ait vécu une mauvaise expérience lors de son accoucheme­nt, et nous reconnaiss­ons qu’elle n’était pas confortabl­e avec les soins qu’elle a reçus. Malgré le fait que nous ne pouvons pas partager les renseignem­ents médicaux personnels de nos patients avec le public, nous pouvons confirmer que les décisions prises par le personnel de l’unité d’obstétriqu­e – c’est-à-dire quelles patientes doivent rester à l’hôpital et lesquelles peuvent se faire renvoyer à la maison de façon sécuritair­e et retourner plus tard pour compléter leur accoucheme­nt – sont toujours basées sur la condition de santé de la patiente, et non sur comment l’unité est occupée à un moment donné. Toutes les patientes qui sont prêtes pour les soins hospitalie­rs lors de leur arrivée à l’unité d’obstétriqu­e sont prises en charge, peu importe le niveau d’activité de l’unité. Par leur nature, les volumes de patientes en obstétriqu­e peuvent varier, mais nous avons en place des stratégies pour appuyer notre équipe lorsque les volumes sont élevés afin de pouvoir gérer ces volumes de manière sécuritair­e. Nous encourageo­ns Mme Sanou de contacter notre bureau de relations avec la clientèle au Centre des sciences de la santé pour partager ses inquiétude­s. Le rôle de ce bureau est de travailler avec nos patients ainsi que leur équipe de soins pour revoir leur expérience et résoudre des problèmes. Réal Cloutier Président-directeur général Office régional de la santé de Winnipeg Le 14 février 2019

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