Pastoralejeunesse : de la panique à la confiance
Coordonnatrice du ministère auprès de la jeunesse à l’archidiocèse de Saint-boniface, Yssa Licsi a été très occupée depuis le début de la pandémie de la COVID-19. Son objectif : maintenir les activités et soutenir les jeunes et les jeunes adultes dans les paroisses, tout en comdes activités en personne.
Propos recueillis par Daniel Bahuaud, coordonnateur des communications à l’archidiocèse de Saint-boniface
Pas évident de faire de la pastoralejeunesse en pleine pandémie…
Yssa Licsi : Lors du tout premier lock down, personne. Ce contact est essentiel. J’ose dire qu’il est la
Se trouver obligée de s’isoler chez soi quand tu as soif d’un contact personnel, c’est pas du genre Theology On Tap tenues dans les bars, les vigiles de prière et les conférences, tout ça nous manquait énormément. C’était la panique. Ils connaissent les outils qui permettent d’aborder la foi de manière virtuelle, par Internet. La résilience des ministres de la une augmentation du nombre et de la variété des activités. Et une croissance de la foi. Comment vous êtes-vous adaptée?
Y. L. : En demeurant ouverte aux nouvelles options comme créer un compte Instagram lock down, c’était évident qu’il fallait utiliser tout de suite cette plateforme comme forum de Puis on s’est tous familiarisés avec Zoom pour organiser des rencontres et des conférences virtuelles. J’ai d’abord participé à la tenue de Singles For Christ. En plus de Zoom, il fallait se servir de Youtube et de l’application Open Broadcast Software. J’ai beaucoup appris. Cette expérience m’a par la suite été précieuse lorsqu’on a organisé la Conférence tri-diocésaine sur la famille catholique en conférence du genre approche à grands pas, et elle sera virtuelle. Nous sommes beaucoup concert en se servant de l’application extraordinaire!
La suite du témoignage d’yssa Licsi sera publiée dans la prochaine édition de La Liberté.