Une réussite rédactionnelle
Depuis plusieurs années, Français pour l’avenir propose un concours de rédaction auquel plusieurs élèves et écoles de la DSFM participent. Cette année, suite à une présentation au sujet du concours, deux élèves de l’école régionale Saint-jean-baptiste, Julianne Parent, en 12e année, et Abigail Sabourin, en 11e année, ont décidé d’y participer.
Julianne Parent s’en souvient : « Quand nos enseignants nous ont parlé du concours, j’ai tout de suite pensé que c’était une bonne opportunité. Avec la pandémie, on a eu beaucoup d’activités qui ont dû être annulées. Faire ce concours, c’était faire une activité en dehors des cours, tout en respectant les règles sanitaires. J’ai pensé que ça pouvait être le fun. »
Abigail Sabourin enchaîne : « Quand on nous a parlé du concours, on nous a dit qu’il y avait déjà eu une gagnante à l’école. Ça nous a encore plus motivées à participer! On voulait vraiment tenter notre chance et essayer de remporter le concours nous aussi. »
Pour les deux élèves, participer au concours national de rédaction était donc une chance à saisir, à la fois celle de faire une activité différente de l’habitude, mais aussi celle de peut-être remporter un prix allant jusqu’à 3 000 $ pour
Julianne Parent reprend en partageant ses motivations profondes : « On vient d’une petite école, alors les gens ne nous connaissent pas forcément. Participer à des concours, ça permet de faire connaître notre école. J’aime ça. Mais on voulait aussi montrer que venir d’une petite école ne faisait pas de différence sur la réussite scolaire. On est aussi capable que tous les autres. » de cette année : En quoi les fausses nouvelles ont-elles
Abigail Sabourin : « C’est Français pour l’avenir qui choisissait le thème, mais on a tout de suite pensé qu’il était intéressant. »
Julianne Parent poursuit : « Étant donné le monde dans lequel on vit, avec tous les réseaux sociaux, ce thème nous parlait vraiment. C’est important de savoir que tout ce qu’on lit n’est pas forcément la vérité. Il faut apprendre à toujours
« Quand on voit des nouvelles sur les réseaux, on ne peut pas savoir si c’est la vérité ou non. On doit regarder ailleurs devrait parler à tout le monde car aujourd’hui, les réseaux sociaux ont pris une place importante dans la vie de beaucoup de gens. »
Les participants au concours avait environ trois mois pour rendre leur rédaction, dont la date butoir était le s’arment de patience, car les résultats n’ont été annoncés que vers la mi-mars.
Abigail Sabourin : « On a eu les résultats un peu avant Je ne pensais pas du tout qu’on gagnerait. » Pour Julianne Parent, même sentiment. « C’était un concours national, alors on ne pensait pas vraiment gagner. Ça nous a tellement fait plaisir! On a pu faire rayonner notre école au niveau national! »
« On vient d’une petite école, alors les gens ne nous connaissent pas forcément. Participer à des concours, ça permet de faire connaître notre école. J’aime ça. Mais on voulait aussi montrer que venir d’une petite école ne faisait pas de différence sur la réussite scolaire. On est aussi capable que tous les autres. » Julianne Parent, 12e année.