JE VOIS TOUT!
Drapeau, Drapeau,
Étienne Béland,
Marie-Ève Jolin, Véronique
Rosaire
Bonne fête en retard à de Saint-Pascal, et à
de Sainte-Hélène-deKamouraska, dont l’anniversaire était respectivement le 3 et le 5 octobre. C’est de la part d’un membre de la famille.
Saint-Georges : « J’ai le même rêve depuis toujours et je suis persuadée que je le réaliserai. Prends de l’expérience en travaillant dans des
Geoffroy Ménard
vous invite le 9 octobre à Wickham, à la Ferme de la berceuse, pour une journée où l’on pourra visualiser les comportements de divers mélanges d’engrais verts dans des parcelles, en situation réelle, dans une ferme maraîchère bio.
Magali Hunot,
Félicitations à de Laval, qui est maintenant officiellement agronome.
fermes et ce qui est le mieux, selon moi, c’est de travailler chez un producteur qui n’a pas de relève et qui est intéressé à une relève non apparentée. »
Lac-Brome : « Tout est possible. Moi aussi, je suis passionné d’agriculture et je ne viens pas d’une famille agricole. Mais j’ai travaillé beaucoup. Je suis allé à l’école. Là, ça fait quatre ans que ma conjointe et moi, on a démarré une production laitière. N’arrête pas de rêver. C’est possible. »
Joliette : « J’ai démarré en 2010 avec 0 $. J’avais un bon plan d’affaires, de l’expérience et j’ai travaillé beaucoup d’heures, en plus d’une job en dehors de la ferme. Oui, c’est possible. Je viens d’acheter [seulement les installations, sans terre] après cinq ans en location. À 16 ans, un seul conseil : prends de l’expérience le plus possible d’ici la fin de tes études. Bon succès! »
Nathan Fontaine,
Jacques Bérard,
Luce Bisson,
de Sainte-Sabine, a reçu une grande nouvelle d’Australie : elle est maintenant la grand-maman de la petite qu’elle ira bercer bientôt.
Lily,
Rachel
Maude
Beauregard,
de SaintHyacinthe, est une maman très fière. Sa fille est officiellement agronome et son autre fille
est récemment diplômée de l’Université de Sherbrooke en enseignement au primaire.
Marie-Ève Rivard Lors de périodes difficiles, il faut parfois partager des messages d’espoir avec les autres. Il y a quelques semaines, j’ai surpris ces échanges dans un groupe de discussion de jeunes de la relève. Ils ont accepté que je vous fasse part de leurs réflexions.
de Lévis, a un rêve, celui de vivre de l’agriculture, et il écrit : « J’ai 16 ans. Je suis passionné d’agriculture. Mon rêve : avoir une ferme laitière. Le problème, c’est que je ne viens pas du milieu agricole. Je compte bien aller étudier au Cégep de Lévis-Lauzon en gestion et technologies d’entreprise agricole. Je suis conscient du coût d’une ferme… Est-ce que vous croyez que mon rêve est possible? »
Jean-François Boutin,
Warwick : « Salut Étienne. J’ai démarré en 2008. Évidemment, c’est difficile et ça demande de gros sacrifices. Ma conjointe et moi avons tous les deux un travail à l’extérieur. Plusieurs ont tenté de nous décourager, mais nous avons fait le choix de nous entourer de personnes positives qui croyaient en nous. Après sept ans de travail acharné, on commence à voir les résultats. Trouve ta voie et suis ton instinct. Tu ne pourras pas vivre d’échec. Au pire, tu vivras une expérience d’apprentissage. »
Acton Vale : « Nous, on s’est trouvé une ferme qui appartient à deux personnes formidables pour un transfert non apparenté. Avec eux, on sait que notre avenir va être meilleur. Il ne faut jamais abandonner nos rêves et nos passions. Un jour, on finit par trouver ce qu’il nous faut! »
Stéphanie Ménard,