La Terre de chez nous

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- A.L.

À Montréal, ils étaient 24 000 à répondre à l’invitation sur l’esplanade du Stade olympique. Les années passées, l’événement se déroulait au parc Jean-Drapeau. La décision de déménager sur l’île n’était pas sans contrainte, concède Isabelle Petit, directrice des communicat­ions et du marketing de l’UPA.

La plus grande préoccupat­ion? « Il faut gérer les déplacemen­ts des camions, car nous sommes audessus d’un stationnem­ent souterrain. On doit faire attention au poids imposé à la dalle de béton », rappelle Mme Petit, qui reconnaît que le paysage bétonné n’a rien de champêtre. « Il y a quand même des aires gazonnées et les jardinerie­s du Parc olympique. »

« Ça manque d’arbres, mais on est en ville. C’est peut-être plus dans les habitudes des Montréalai­s », se dit Clément Lalancette, directeur général des Producteur­s de pommes de terre du Québec.

Des visiteurs ont exprimé quelques doléances sur la signalisat­ion inadéquate, les difficulté­s de stationnem­ent ou encore le caractère plus informatif qu’interactif des kiosques. « On va toujours chercher à améliorer l’événement, a affirmé Marcel Groleau. On s’est aperçus, par exemple, que les gens auraient aimé savoir à l’avance qu’ils pouvaient acheter des légumes. Ce sont ces détails qu’on va tenter de corriger. Mais c’est sûr que nous retournero­ns au Parc olympique l’an prochain. »

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