N’est pas moche qui veut
Ils sont difformes ou légèrement endommagés, trop gros ou trop petits, ils ont mûri trop vite ou de façon inégale… Plusieurs éléments font en sorte qu’un fruit ou un légume peut être jugé de seconde catégorie.
En plus des critères imposés par la réglementation fédérale, les producteurs doivent s’ajuster aux exigences parfois élevées des chaînes d’alimentation pour favoriser la vente, ce qui peut entraîner d’autres rejets. Par exemple, celles-ci préfèrent que, dans un même sac, les carottes soient de taille uniforme, ce qui sera plus attirant pour le consommateur.