CE QU’ILS ONT DIT
« Je ne connais pas M. Moreau. Je lui donne donc le bénéfice du doute et je fais confiance au ministre Lamontagne. [Toutefois], les positions de l’IEDM sont inconciliables avec le développement des régions [ainsi qu’avec] la nécessité des interventions des gouvernements en agriculture, compte tenu du genre de risques que nous avons à gérer. » ‒ Marcel Groleau, président de l’Union des producteurs agricoles
« Même si on est prêts à donner la chance au coureur, on est quand même surpris que le ministère québécois de l’Agriculture ait retenu les services de quelqu’un qui est très brillant, somme toute, mais qui, dans le passé, a eu des positions assez tranchées et pas très neutres. » – Simon Trépanier, directeur général des Producteurs et productrices acéricoles du Québec « L’important, c’est que le premier ministre et le ministre [Lamontagne] aient réitéré à de nombreuses occasions leur appui à la gestion de l’offre. Donc, on n’a pas de raisons de [s’inquiéter]. » – Les Producteurs du lait du Québec