La quête de la fromagère Caroline Tardif pour trouver quelqu’un qui permettra au verger de son conjoint décédé de perdurer a suscité bien des réactions sur les médias sociaux. En voici quelques-unes.
Personnellement touché par ce reportage! Hommage au courage de cette dame. Toute mon admiration et mon respect. Ce qui me touche particulièrement, c’est que ce courage naît d’un amour inconditionnel pour cet homme qu’elle admirait tant. Je le sais, je le sens dans ce témoignage. Il est rare de nos jours d’être témoin d’un si grand et profond respect pour l’autre, celui ou celle que l’on a choisi. Voilà ce qu’est un digne symbole de fidélité. Merci pour ce reportage qui me ramène à mon essence. Il me rappelle comment j’aime moi aussi!
— Sylvain Pelletier
Quelle histoire triste : vivre de sa passion… mais en mourir. Bon courage et bonne chance pour la suite, Madame.
— Chantal Filion
Tant qu’on va se laisser aveugler par « la passion » comme seul moteur de notre travail agricole, on va vivre des situations de détresse similaires.À quand un nouveau contrat social avec les agriculteurs? Un médecin, ça gagne 200 000 $ et plus avec des installations fournies par l’État (infrastructures, employés, etc.) Un agriculteur peut être plus pauvre qu’un assisté social.
— Marypascal Beauregard
Être entrepreneur, c’est difficile. Faire de l’agriculture, c’est très difficile et intense, trop souvent sans possibilité de remplacement. Tout ça peut devenir beaucoup trop lourd à porter. Est-ce qu’on va pouvoir faire évoluer les modèles agricoles pour améliorer les conditions?
— Luce Bisson