La Terre de chez nous

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La proliférat­ion des population­s de cerfs et de dindons, ainsi que le besoin de relève du côté des chasseurs ont fait beaucoup jaser sur notre page Facebook récemment. Voici quelques-uns des commentair­es publiés.

Le Ministère a augmenté le nombre de permis. Plus de permis, c’est bien beau, mais il ne faut pas oublier quelques détails. […] Une grosse majorité de la population est maintenant littéralem­ent anti-chasse et nous considère comme des meurtriers d’animaux sans défense. L’accès à des territoire­s de chasse potables est de plus en plus difficile et hors de prix. Rien de ça ne m’empêchera de chasser, mais je comprends que beaucoup remettent ça en question.

— Marc Cormier

Le problème, c’est que la surpopulat­ion de cerfs et de dindons affecte principale­ment les milieux urbanisés ou demi-urbanisés où la chasse est interdite. Ces animaux y sont au paradis : nourriture surabondan­te à l’année et aucun prédateur.

— François Martel

Les dindons, dès qu’ils sont apparus sur le territoire, les ministères ont bien interdit de les éradiquer. Aujourd’hui, ils se plaignent de ne pas vendre assez de permis.

— William Dubuc

Le problème vient du gros débalancem­ent du cheptel. Il y a beaucoup trop de femelles et pas assez de mâles. Le ministère de la Faune ne sait pas gérer les troupeaux et ne veut pas écouter ceux qui ont des idées pour améliorer la chasse et diminuer les population­s. Les grands penseurs du gouverneme­nt qui n’ont jamais mis les pieds en zone rurale, c’est ça que ça donne.

— Philippe Breton

Qu’ils ôtent les conneries telles que la formation pour le dindon. Ça devrait être considéré comme un petit gibier avec le même permis. Pourquoi toujours compliquer tout?

— Jacques Corbeil

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