UN DOUX ANNIVERSAIRE POUR LE TAPIS ROUGE
Le symbole traditionnel d’un sixième anniversaire pour tout évènement est le bonbon. Pour les bénévoles dévoués et responsables du Gala du sixième anniversaire du Tapis rouge, c’est une douce sensation de souligner le sixième anniversaire de leurs efforts
« Tout a commencé avec René Berthiaume, alors qu’il était maire de Hawkesbury, a expliqué Jean-Yves Léonard, au sujet de l’histoire du Gala du Tapis rouge. Il a reçu des courriels des paliers supérieurs de gouvernements demandant des candidatures pour différents prix communautaires. » Bien que M. Berthiaume ait été plus qu’heureux de fournir des noms pour qu’ils puissent recevoir une reconnaissance spéciale pour leurs efforts communautaires, la demande l’a aussi motivé, lui et d’autres, à trouver un moyen de rendre hommage à ceux qui sont peut-être des leaders communautaires connus, mais qui travaillent souvent en coulisse. La question qui avait été posée à l’époque, s’est rappelé M. Léonard, était : « Pourquoi ne pas reconnaître les gens de la région qui font du bénévolat ou qui font des choses pour améliorer Hawkesbury, des gens qui font beaucoup de choses, mais qui ne reçoivent pas beaucoup de reconnaissance pour ce qu’ils font, des gens ordinaires ? »
Ainsi fut fondé le Gala du Tapis rouge, au cours duquel un hommage est rendu à cinq personnes, parmi les cinq catégories de candidatures proposées. « Ce prix rend hommage à ceux qui font de la ville une ville attrayante, et qui le font depuis longtemps, a expliqué M. Léonard. Ce sont des gens dont on n’entend pas beaucoup parler et qui font beaucoup de choses sans se faire remarquer. »
Il a fait remarquer que les récipiendaires d’une nomination pour le Tapis rouge peuvent vivre à l’extérieur de la région de Hawkesbury, mais que ce qu’ils font en tant que bénévoles doit procurer un « avantage significatif » à la ville de Hawkesbury.
« Ce sont tous des gens qui ont donné beaucoup de leur temps ou beaucoup d’argent à la communauté et qui ne s’attendaient pas à être reconnus, a expliqué M. Léonard. Ces gens apprécient d’être félicités pour tout le bien qu’ils font. »