S’il faut n’en choisir qu’un
David Myles, c’est le météorite de la programmation de Montréal en lumière : une rencontre d’inclassable type avec une sorte de crooner en forme de Buddy Holly, un soulman des Maritimes qui vient de la planète pop, mais aussi de la nébuleuse rock’n’roots, un grand efflanqué doté d’un timbre qui vibre gravissime, un hybride des années 1950 et d’aujourd’hui. Création de labo extraterrestre? Allez savoir. Notre chance, c’est que l’ovni explose sur scène. Ça risque fort de brûler les planches du Gesù le 24 février. On s’y voit ? On s’y voit.