Bloc-notes gourmand
Les nouveautés et les actualités à ne pas manquer
Les Enfants terribles se transforment
Pour son 15e anniversaire, le célèbre restaurant fait peau neuve avec l’aide de Baillat Studio afin de faire évoluer son image de marque. Pour l’occasion, le chef exécutif S’Arto Chartier-Otis a choisi d’ajouter plusieurs nouveaux plats au menu de ses six emplacements, dont trois à Montréal, un à Magog, un à Laval et un autre à Brossard. Le restaurant innove également avec un design intérieur actualisé signé l’Atelier Zébulon Perron, à qui l’on doit déjà les magnifiques décors de plusieurs autres cuisines à Montréal. Pour l’établissement de Place Ville Marie, Les Enfants terribles proposent un endroit inédit où profiter du retour des beaux jours. Désormais, une terrasse est aménagée au pied de l’Anneau, cette installation d’acier de 30 mètres de diamètre, devenue l’un des symboles du centre-ville de la métropole.
Des brunchs printaniers chez Bika
En vue de célébrer le retour des beaux jours, la ferme Bika remet ses brunchs à saveur turque à l’honneur jusqu’à la fin du mois d’avril. Tartinades et fromages maison, salades et plats chauds sont inscrits au menu, le tout conçu avec des produits locaux et de saison cultivés à même le jardin de la ferme et dans celles des environs. Afin de suivre le rythme de dame Nature, les choix de repas changent chaque semaine, voire quotidiennement. La formule est offerte en format « apportez votre vin », et les mets sont adaptés aux restrictions alimentaires pour les clients qui le désirent. Tous les samedis et dimanches d’avril à 10 h, à midi ou à 14 h.
Dégustation d’insectes à Québec
Le Festival des insectes revient pour une 11e édition avec l’Indonésie à l’honneur à l’Aquarium du Québec, dans la capitale nationale. Durant toute la fin de semaine, l’événement, organisé en partenariat avec La Bibitte mobile, entraîne les participants dans l’univers de ces êtres à six pattes. On y trouve des spécimens venant de partout dans le monde, avec plus de 10 000 d’entre eux vivants ou naturalisés. Ce sera aussi l’occasion de toucher et de manger des bestioles. Au menu : grillons en dégustation pour les plus courageux. À noter que la culture d’insectes génère beaucoup moins de GES que l’élevage de bovins et que ces bestioles sont également une bonne source de protéines et possèdent une valeur nutritive supérieure à celle du boeuf, du poulet et du porc, selon une étude menée par l’Université d’Oxford.