Un été en 7 expositions
Le nouveau cycle de programmation de la Biosphère propose des expositions immersives d’arts visuels et d’arts vivants. Un été fascinant, où s’allient la science, l’art et l’action citoyenne. Dans ce même esprit de réflexion et de solutions que proposent les autres musées d’Espace pour la vie, la Biosphère souhaite amener l’humain à vivre en harmonie avec la nature et l’invite à agir pour la protéger.
• Renversant ! Un voyage au fil de l’eau. Une expérience interactive, qui se déroule au coeur d’un bassin-versant, sollicite les cinq sens dans une exploration inédite de la nature et sa variété d’écosystèmes.
• Dans l’oeil du béluga. L’artiste gaspésienne Maryse Goudreau porte son attention sur le béluga en érigeant autour d’elle une oeuvre-archive photographique, sonore, littéraire et sculpturale.
• Les saumons de la Mitis. Après J’aime Hydro, Christine Beaulieu signe un second texte de théâtre documentaire, sur les saumons de la rivière Mitis, leur impressionnant parcours et leur réalité transformée par l’humain.
• Aussi forte que le vent. Meryl McMaster réalise des autoportraits photographiques qui explorent des sites naturels et ses liens de filiation avec ses ancêtres cris des plaines/siksika et britanniques/néerlandais.
• Chercher refuge, la migration climatique. Conçue en collaboration avec Oxfam-Québec, l’exposition rappelle que les changements climatiques creusent le fossé des inégalités et interroge notre vulnérabilité.
• Tisser l’océan. Sur l’île de Bali pendant la pandémie, le Montréalais d’origine indonésienne Ari Bayuaji s’est mis à ramasser des cordages de plastique charriés par l’océan jusque sur les plages pour en faire une matière à tisser.
• Plancton cosmique. Un voyage de l’infiniment petit à l’infiniment grand, du plancton aux étoiles, présenté par le collectif d’artistes multidisciplinaires Les Macronautes, de l’océan jusqu’aux galaxies lointaines en traversant les barrières de l’invisible.