UN BON COUP ?
Une mère de Chicago avait vu une de nos balançoires créées pour les enfants avec un handicap. La mère en voulait une pour son enfant Mickey dans sa cour, parce que c’était la meilleure chose qu’elle avait vu pour son enfant. Il a eu tellement de plaisir. La compagnie a fait un don et nous l’avons installé dans sa cour d’école.
Chaque année, cette maman nous envoie un rapport pour nous dire que son enfant l’utilise encore beaucoup. Ça me rend très fier.
UN MOINS BON COUP ?
C’est parfois difficile de travailler avec les banques. On a dû s’associer avec des programmes comme Exportation et développement Canada et la Banque de développement du Canada. Ils ont été de grands joueurs pour nous, mais ce n’était pas toujours facile.
UN MENTOR ?
Ce serait le bon Dieu. Souvent on s’associe à des gens d’affaires et ça ne fonctionne pas toujours. Pour moi c’était les portes du christianisme qui étaient ouvertes, j’ai suivi le chemin et ça me tient très à coeur.
UN CONSEIL ?
De vraiment se concentrer et d’y croire.