Les minimaisons : au-delà de la tendance minimaliste
La propriétaire, qui vit aux États-Unis, rêvait d’un pied-à-terre où loger quand elle revient l’été, au Québec, visiter la famille et les amis. Elle a transformé une modeste roulotte en un petit refuge séduisant.
« L’ESPACE PRÉVU POUR LOGER UN FRIGO D’APPOINT A ÉTÉ CONVERTI EN COIN BANQUETTE DOUILLET OÙ LA PETITE MORGAN, 14 MOIS, ADORE SE RÉFUGIER POUR REGARDER DES LIVRES D’IMAGES ET JOUER. »
Avec sa fenestration abondante, son espace de vie très aéré pour une habitation aussi restreinte, et son plancher flottant, la petite roulotte ne manque pas de convivialité. Sophie, la propriétaire, confie être tombée sous le charme du courant minimaliste : « J’ai découvert des familles qui vivent avec beaucoup moins sans sacrifier leur confort. Leurs comptes Instagram sont inspirants. Je me suis aussi familiarisée avec la philosophie derrière les minimaisons. J’ai donc décidé d’embarquer dans l’aventure, le temps d’un été ! » En juin dernier, elle a déniché une roulotte à sellette (fifthwheel) – 300 pi2 avec l’extension – à un prix abordable sur Kijiji. Elle l’a installée sur un terrain de camping de Drummondville, sa ville natale. « Un coin nature tout près des activités urbaines. » En additionnant les coûts de la roulotte, du mobilier neuf et des matériaux de rénovation, elle a déboursé 6000 $ en tout et pour tout.