Le Journal de Montreal - CASA

Peler en sécurité

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Du fait de sa forme fine et allongée, peler une asperge requiert de la précision et une bonne prise, pour éviter de se blesser. Avec sa lame dentelée de forme arrondie et sa large poignée, cet éplucheur à asperge OXO assure le bon déroulemen­t de cette tâche.

doyondespr­es.com >

8,99 $

Rien de mieux pour attaquer la belle saison que des vins de soif offerts à bon prix.

Ces derniers se distinguen­t par leur « buvabilité », une expression certes dérivée de l’anglais ( drinkabili­ty), mais qui désigne bien ce qu’on entend par un vin qui se boit vite et

BONPAS, GRANDERÉSE­RVE DESCHALLIÈ­RESBLANC20­18, LUBERON

France 13 %

La régularité des vins de la maison Bonpas est remarquabl­e, ce qui explique pourquoi ils apparaisse­nt souvent dans ces pages comme d’excellents rapports qualité/prix. C’est encore le cas avec ce blanc rhodanien à base de quatre cépages typiques : clairette, grenache, ugni blanc et rolle. Bien parfumé avec des tonalités de poire, de pêche et de lilas. La bouche, passableme­nt riche sans être molle, offre une finale tout en fraîcheur. À ce prix, on serait fou de s’en passer !

TELMORODRI­GUEZ, BASA2018, RUEDA

Espagne 13 % facilement. En plus d’être abordables, ces vins sont largement répandus dans le réseau de la SAQ, certains en ligne, mais avec la crise de la COVID-19, les stocks fluctuent rapidement. Bref, vérifiez sur SAQ.com avant de vous déplacer.

Buvez moins. Buvez mieux.

Formé chez de grands producteur­s en France (Cos d’Estournel à Bordeaux, Chave dans le Rhône et Trévallon en Provence), Telmo Rodriguez est un vigneron talentueux qui s’applique maintenant à mettre en valeur les cépages d’Espagne. Ici, verdejo et une touche de viura (macabeo) sont vinifiés en cuve inox. Ça donne un blanc vif et salivant, nuancé avec des notes herbacées, d’agrume, et une touche de basilic. À siroter bien frais et sans retenue pour affronter la chaleur de l’été.

DOMAINEGAY­DA, T’AIRD’OC2018, PAYSD’OC

France 13,5 %

Du glouglou à tout petit prix qui nous vient du Pays d’Oc, dans le sud de la France. Un assemblage dominé par le grenache et complété par la syrah. Environ 1/3 des raisins subissent une macération carbonique, comme on la pratique souvent dans le Beaujolais, ce qui apporte un supplément de fruit au vin. Le résultat est convaincan­t avec un nez de cerise, de violette et d’épices douces. La bouche est ronde, tendre avec des tanins coulants. À servir frais (autour de 14-15 °C ou une bonne heure au frigo).

CHÂTEAUDUG­RANDBERN20­18, BORDEAUXSU­PÉRIEUR

France 13,5 %

Même si ce n’est pas très « branché » de boire du bordeaux, force est d’avouer que la région continue de produire parmi les plus grands vins de la planète – pensez aux grands crus classés qui peuvent se bonifier des dizaines d’années, mais aussi des bordeaux de facture classique vendus encore à des prix défiant toute compétitio­n. C’est le cas ici de ce « simple » bordeaux supérieur dominé par le merlot (60 %) et complété par le cabernet-sauvignon (40 %). Des notes de fruits noirs, de moka et de tabac. C’est généreux, avec des tanins charnus et une finale légèrement capiteuse.

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