Louise deschâteLets
Réflexion sur le rôle des parents envers leurs enfants
J’aimerais vous entretenir du pouvoir des parents sur leurs enfants, et plus précisément du pouvoir magique de leurs paroles. L’âge aidant, j’ai compris que les parents peuvent faire des miracles avec leurs enfants en ayant la bonne attitude. Le pouvoir des paroles d’une mère est d’une puissance insoupçonnée. Ce qui signifie qu’il faut faire très attention aux termes qu’on utilise et à la façon de les choisir quand on parle à nos enfants. Quand on leur dit régulièrement « T’es bon! T’es intelligent! T’es capable! T’es beau! » Nos enfants grandissent en étant fiers d’eux. Quand ils ont des problèmes, il faut leur dire : « C’est pas grave! Tu vas t’en sortir et passer par-dessus! » Ainsi ils vont grandir forts et endurants. Nos enfants nous croient, et plus nous croyons en eux, plus ils vont se surpasser. Même s’il peut sembler banal, mon message est de grande importance.
Viktoria Sklar
Je partage en grande partie vos dires parce qu’ils viennent certainement réveiller chez plusieurs de vieilles méthodes d’éducation d’autrefois quand les parents avaient plus tendance à dénoncer les fautes commises qu’à encenser les bons coups de leurs enfants. Par contre il faut tout autant éviter de glorifier outre mesure ce qui ne doit pas l’être, car l’enfant un jour ou l’autre, aura du mal à s’y retrouver entre ce qu’on lui reflétait de lui dans sa famille, et ce qu’on lui en reflète dans le milieu scolaire ou le milieu du travail. La vertu se trouve rarement dans les extrêmes.
Ma vision des fonctionnaires obtus
Je compatis grandement avec la dame qui signait « Future suicidée ». De 1971 à 1997, j’ai travaillé dans les services sociaux, et des situations tordues et injustes du genre de ce qu’elle vit présentement, j’en ai vu à répétition. Je me permets d’affirmer que les fonctionnaires qui administraient le Bien-Être Social à l’époque, traitaient tous les cas de la même manière : c’est à dire qu’aucune étude de cas n’était faite et que le couperet tombait de toute manière. La personne accusée était tout de suite jugée fraudeuse, on lui imposait une bonne amende, en plus de lui couper son crédit d’impôt, et son chèque de BS était automatiquement dimi- nué. Dans l’esprit de ces gens-là, il était impossible qu’un prestataire dise la vérité. Malheureusement pour elle, elle ne peut rien faire pour sortir de ce gouffre, à moins de gagner le million à la Loterie. Et croyez-en mon expérience, les fonctionnaires fédéraux ne sont guère mieux. Les gouvernements quels qu’ils soient n’arrêtent pas de surveiller les faibles salariés où qu’ils soient pour leur subtiliser les quelques dollars qui leur restent. La situation de cette dame m’inquiète au plus haut point.
Henriette Yergeau
Vous avez raison d’être inquiète pour cette personne, je l’étais moimême à la lecture de son mot. Mais si on compare la période où vous avez travaillé dans un ministère et aujourd’hui, les choses ont grandement changé. L’injustice est de moins en moins possible vu l’accès à tous les dossiers par les journalistes et les chercheurs. Et de plus en plus nombreux sont les moyens mis à la disposition de ces personnes pour se défendre face à la grosse machine gouvernementale.
Espoir pour les autistes et leurs parents
J’aimerais porter à votre attention une découverte scientifique remplie d’espoir faite en France sur des enfants autistes de 3 à 11 ans. Il semblerait qu’un simple diurétique pourrait réduire les troubles de l’autisme en diminuant le taux de chlore dans le cerveau des enfants. Les résultats sont à être confirmés par une étude faite à plus haute échelle.
Anonyme
Merci de ce commentaire encourageant pour les parents d’enfants autistes, mais je stoppe tout de suite toute envie d’un parent de partir à la recherche de la potion magique, car les recherches n’en sont qu’à un stade embryonnaire.