Le Journal de Montreal

CE QUE L’AGENT MAXIME PERRON A DIT À LA COUR

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Il s’est approché de moi et il m’a parlé proche de mon visage. Je sentais son odeur d’alcool.» Il était nerveux, c’était perceptibl­e.» Je voyais qu’il pensait à ce qu’il allait dire pendant qu’il me parlait.» À aucun moment, il ne m’a laissé croire qu’il soufflerai­t. Il était agité.» Je savais qui il était. Je l’avais déjà vu à la télévision quelques fois, mais sans plus.»

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