CE QUE L’AGENT MAXIME PERRON A DIT À LA COUR
Il s’est approché de moi et il m’a parlé proche de mon visage. Je sentais son odeur d’alcool.» Il était nerveux, c’était perceptible.» Je voyais qu’il pensait à ce qu’il allait dire pendant qu’il me parlait.» À aucun moment, il ne m’a laissé croire qu’il soufflerait. Il était agité.» Je savais qui il était. Je l’avais déjà vu à la télévision quelques fois, mais sans plus.»