Le Journal de Montreal

Photos-chocs du Québécois Vin Los

Force est de constater que la stratégie de Vin Los semble fonctionne­r. Le Montréalai­s tatoué fait encore une fois parler de lui à travers le monde.

- Élizabeth Ménard EMenardJDM

Le mannequin de 25 ans qui a des mots tatoués partout sur le corps, dont 24 sur le visage, s’approche de plus en plus de son rêve de devenir célèbre.

Dans l’édition Printemps/Été du magazine V Man, on trouve une photo de lui (en bas à

gauche) dont le look a été réalisé par nul autre que Nicola Formichett­i, célèbre styliste qui a travaillé avec des vedettes comme Lady Gaga, Kim Kardashian et Beyoncé. Il est présenteme­nt directeur artistique pour la marque Diesel.

En octobre dernier, dans le magazine GQ, Formicheti a d’ailleurs parlé de son intérêt pour Vin Los.

«Je suis juste tellement intéressé à comprendre pourquoi il veut faire ça et, visuelleme­nt, je pense que ça donne un look génial», disait-il.

POUR LA GLOIRE

Découvert par Le Journal l’été dernier, Vin Los confiait que son but, avec ses nombreux tatouages, est de devenir Vin Los a signé son premier contrat de mannequina­t avec la compagnie de Vancouver, Garçon Model. Il est également en vedette dans l’édition Printemps/Été 2015 de V Man (en bas) avec un look réalisé par le célèbre styliste Nicola Formichett­i. Les pointes de métal ont été ajoutées temporaire­ment pour les besoins de la séance photo. célèbre.

«Depuis que je suis petit, j’ai toujours été inspiré et passionné par les grandes icônes comme Marilyn Monroe, les Beatles, Michael Jackson et Kim Kardashian, disait-il. J’aimerais devenir une grosse icône célèbre, une icône de la culture pop. Les tattoos, c’est juste un pas de plus dans cette direction.»

BEAUCOUP DE POTENTIEL

À l’automne 2014, il a pris les choses en mains en contactant directemen­t, sur sa page Facebook, Nicola Formichett­i, le styliste qui a découvert Zombie Boy il y a quelques années.

«Je lui ai écrit un courriel et il m’a répondu tout de suite le lendemain. Il m’a dit: “Je sais qui tu es.” Il m’a fait une demande d’amitié, je capotais, raconte-t-il en riant. On a jasé pas mal et il m’a dit: “Je vois beaucoup de potentiel en toi. Si un jour j’ai

des projets, je te contactera­i.”»

CONTRAT DE MANNEQUINA­T

Le mois dernier, Vin Los a décroché son premier contrat de mannequina­t avec la compagnie de sous-vêtements canadienne Garçon Model.

Les photos, prises par le photograph­e montréalai­s Monsiieur, ont fait le tour de la toile.

Les photos ont notamment été vues sur le Daily Mail et sur plusieurs sites web étrangers, dont Vangardist Magazine (Autriche) et Metronieuw­s (Metro Amsterdam).

En juin, il devrait participer au tournage d’un épisode de Quelle histoire! à Radio-Canada, dit-il.

En attendant, il peint des toiles et compte lancer une collection de portesmonn­aie.

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Vin Los est souvent comparé à Rick Genest, alias Zombie Boy, un autre Montréalai­s découvert par Nicola Formichett­i.
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