Plus discrète sur les réseaux sociaux
Eugenie Bouchard, qui a commencé à partager des images de son style de vie plus «glamour» à la fin de l’année dernière, a grandement gagné en popularité sur les médias sociaux.
Son succès sur Facebook n’a pas autant augmenté que son renom sur Twitter et Instagram depuis qu’elle est représentée par le géant IMG, une agence spécialisée dans la promotion et l’image de marque des sportifs.
L’athlète de 21 ans est toutefois beaucoup moins active sur ses différents comptes depuis le début du printemps.
« REINE DU SELFIE »
La Montréalaise ne partage maintenant qu’une ou deux photos hebdomadairement sur Instagram depuis les 14 dernières semaines. Celle qui se faisait appeler «la reine du selfie» avait l’habitude de publier des photos de sa vie mondaine quotidiennement il y a environ six mois. Des images de ses entraînements et d’activités sportives figurent plus souvent sur son compte dernièrement.
Pratiquement absente durant le printemps, Bouchard rejoint davantage son «army» via Twitter depuis le début de l’été. Elle a communiqué avec ses abonnés à une vingtaine de reprises durant août sur le réseau social, alors qu’elle n’avait publié que huit micromessages en avril. À titre comparatif, elle avait écrit 29 publications en janvier 2015.
CHANGEMENT D’IMAGES
La joueuse de tennis partageait davantage sa vie privée avec ses admirateurs l’hiver dernier sur Facebook. Plusieurs photos de ses vacances et sorties mondaines tapissaient alors son compte.
Elle s’en tient à des images de ses entraînements, de ses séances au gymnase ou à des publications commanditées depuis le printemps.
La 25e joueuse mondiale s’est faite particulièrement discrète en juillet en ne se manifestant que deux fois. Elle s’est notamment servie de son profil à la fin du mois dernier pour répondre aux détracteurs qui l’accusaient de ne pas pratiquer assez son jeu en accompagnant un cliché sportif de la légende: «Le fait que vous pensiez que je ne pratique pas. Je suppose simplement que ces photos de pratiques sont ennuyeuses pour vous.»