Les paddocks vont manquer à Ricciardo
les paddocks du circuit Gillesvilleneuve ont besoin d’une cure de rajeunissement et les travaux commenceront après la saison 2018 du Grand Prix du Canada. Parmi ceux qui seront nostalgiques, il y a Daniel ricciardo.
Le pilote de Red Bull a livré ses états d’âme sur la qualité des installations actuelles.
«À un certain point, elles vont me manquer, a indiqué Ricciardo, hier, lors d’un point de presse. J’aime bien la proximité entre les écuries.
«Il y a aussi la présence du bassin, situé derrière nous, qui est intéressante même si je n’y ai jamais nagé.»
Par la suite, il a fait savoir ce qu’il aimait moins des paddocks montréalais.
«Les installations sont un peu petites, a-t-il dit. S’ils construisent quelque chose de plus grand, ça serait une bonne chose.»
La facture des nouveaux paddocks s’élèvera à 52 millions $ et sera assumée entièrement par la Ville de Montréal.
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À Montréal, les Red Bull auront de la difficulté à rivaliser avec les Ferrari et les Mercedes dans les longues lignes droites.
Toutefois, Ricciardo estime que sa monoplace pourrait se démarquer sur le plan du freinage. Et au circuit GillesVilleneuve, cela pourrait lui permettre d’obtenir un certain succès.
«On s’est très bien débrouillés dans ce domaine, notamment à Monaco, a-t-il souligné. La voiture réagit aussi bien à la sortie des virages.
«J’aime la course de Montréal et c’est mon type de piste, qui peut être complexe à certains moments. Pour ce qui est de la météo, j’espère qu’elle sera plus clémente que l’an dernier, alors qu’il faisait très froid.»