EXTRAITS DE LA POURSUITE
DÉJÀ CONNU
Un rapport d’expert de 2014 cité dans la poursuite déposée en Cour supérieure soutient qu’un « scellant avait été remplacé sur le solin à l’extérieur sur le côté droit et à l’arrière de la maison », ce qui laisse « présager qu’une infiltration a déjà eu lieu et que l’ancien propriétaire a remplacé le scellant ». Le même expert explique que le problème des infiltrations d’eau est important, car elles se sont dissimulées derrière les murs en acrylique et sont demeurées emprisonnées entre l’extérieur et l’intérieur de la maison. Enfin, il estime que les systèmes d’isolation des façades avec enduit (SIFE) présents ont été mis de façon contraire aux critères d’installation et que « cela constitue donc un défaut
MASQUE AU SOUS-SOL
Toujours selon la poursuite, une compagnie spécialisée en qualité de l’air a aussi recommandé en 2014 aux propriétaires de porter un masque s’ils devaient aller au sous-sol. « Les concentrations de moisissures viables et de spores totales dans l’air au sous-sol étaient très élevées, supérieures aux concentrations retrouvées dans l’air extérieur », ont écrit deux experts à la suite de tests.
CHEMINÉE POURRIE
La poursuite avance aussi que même ceux qui ont vendu la maison, leur expert et leurs assureurs ont constaté des vices cachés affectant l’immeuble lors de leur visite. Les infiltrations sont notamment présentes dans la cheminée, « laquelle est entièrement en état de pourriture et occasionne des odeurs fort désagréables au rez-dechaussée ».