États-Unis Facebook envoie ses profits dans un paradis fiscal grâce à sa filiale Facebook Ireland Holdings, dont le siège est situé, comme son nom ne l’indique pas, dans les Îles Caïmans. Les documents obtenus grâce aux Paradise Papers montrent que les dirigeants de l’entreprise ne s’y rendent pas pour ses réunions d’actionnaires, comme le prévoit la loi, rapporte Le Monde. Selon ce même quotidien français, un riche investisseur russe proche du Kremlin, Youri Milner, aurait utilisé d’opaques entreprises pour investir dans les géants du web Facebook (800 M$ US), Twitter (400 M$ US), Airbnb et Spotify (100 M$ US), notamment.