Le Journal de Montreal

Michael Petrasso en terrain connu

- DAVE LÉVESQUE

MIAMI | Michael Petrasso a été le dernier Canadien à joindre les rangs de l’Impact, il y a une semaine.

Celui qui a évolué pendant deux saisons dans l’académie du Toronto FC a pris la direction de Londres à 16 ans pour se joindre à Queens Park Rangers. Il y est resté pendant six ans, étant prêté à quatre clubs au fil des saisons. Quand l’Impact a démontré de l’intérêt, il n’a pas hésité longtemps.

« C’est très bien de revenir ici et de retrouver des gars que je connais depuis que je suis jeune. Je connais Piette depuis que j’ai 15 ans.

« Quand je me suis rapproché du moment de la signature, j’ai contacté Sam [Piette] et Raheem [Edwards], ils étaient très fébriles de me voir arriver. »

DE CALIBRE

Plus tôt cette semaine, Samuel Piette a assuré que son ami a tout ce qu’il faut pour bien s’adapter à la MLS et s’intégrer à la formation de l’Impact.

« Il est clairement de calibre pour être partant dans cette ligue. Il a joué beaucoup de matchs en Angleterre.

« Je le connais depuis longtemps, il a eu une très bonne Gold Cup en jouant autant comme défenseur droit que comme milieu droit. C’est un très bon ajout à l’équipe. »

Les deux joueurs se connaissen­t depuis qu’ils ont 15 ans.

NOUVELLE PARTISANE

Une chose est sûre, il y aura quelques maillots bleu-blanc-noir dans les gradins du BMO Field quand l’Impact y jouera cette saison.

En effet, la famille de Petrasso déborde de joie à l’idée de le voir revenir au pays.

Sa mère lui a même promis d’assister à chacun de ses matchs à domicile. Ça fait 17 allers et retours entre Toronto et Montréal en saison régulière. Maman Petrasso a du temps à rattraper, selon son fils.

« Ma mère a peu eu la chance de me voir, sauf avec l’équipe canadienne. Elle ne venait me voir à Londres que pendant les vacances des Fêtes. »

ENTRAÎNEUR SÉRIEUX

Par ailleurs, si les joueurs ont goûté à la médecine du préparateu­r physique Robert Duverne, ils commencent aussi à découvrir le nouvel entraîneur-chef, Rémi Garde.

« Rémi est un entraîneur extrêmemen­t sérieux, souligne Anthony Jackson-Hamel. Quand on est sur le terrain, c’est pour travailler. Il met la discipline de l’avant.

« Rémi est très dur d’après ce que j’ai vu. Il s’assure que tous les gars soient très concentrés. »

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