UNE ARMURE RÉDUITE
PROTECTEUR DE COUDE
1 Maximum 6 pouces de largeur en façade
2 Maximum 7 pouces de profondeur
3 Longueur maximale 6,5 pouces de la fin du biceps au début de l’avant-bras
4 Être placé symétriquement par rapport au coude
PROTECTEUR DE BRAS Il doit être de forme élancée de façon à ce que :
5 La protection supérieure du biceps n’excède pas 5,5 pouces
6 La protection inférieure du biceps n’excède pas 4,5 pouces
7 La protection supérieure de l’avant-bras n’excède pas 4,5 pouces
8 La protection inférieure de l’avant-bras n’excède pas 4 pouces
PROTECTEUR DE CLAVICULE
9 Épaisseur maximale de 1 pouce
10 Largeur maximale de 5,5 pouces, lorsque mesurée au niveau de la clavicule du joueur
11 Aucun prolongement au-delà de l’extrémité de l’épaule du joueur
12 Aucun prolongement sous l’aisselle
13 Aucun prolongement au-delà de la limite du torse, sous la poitrine
14 Aucun prolongement vertical de plus de 2 pouces au-dessus de l’épaule, lorsque mesuré de façon latérale
15 Aucun prolongement vertical de plus de 1,5 pouce au-dessus de l’épaule, lorsque mesuré à partir du milieu de sa largeur
16 Aucun prolongement vertical de plus de 0,5 pouce au-dessus de l’épaule, lorsque mesuré à partir de son extrémité interne
PROTECTEUR D’ÉPAULE
17 Suivre la ligne de l’épaule du joueur sans devenir un prolongement de l’épaule
18 Aucun prolongement latéral de plus de 1,5 pouce à partir de l’épaule
La réglementation permissive d’autrefois permettait aux gardiens de transformer leur plastron pratiquement à leur guise. L’ajout d’une protection plus épaisse sous les bras et au niveau des côtes, pour éviter d’être « traversé » par les rondelles, était une pratique courante. Même chose pour le protecteur de clavicule, dont le prolongement au-dessus des épaules donnait parfois aux hommes masqués l’allure d’Optimus Prime.