Le Journal de Montreal

UNE ARMURE RÉDUITE

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PROTECTEUR DE COUDE

1 Maximum 6 pouces de largeur en façade

2 Maximum 7 pouces de profondeur

3 Longueur maximale 6,5 pouces de la fin du biceps au début de l’avant-bras

4 Être placé symétrique­ment par rapport au coude

PROTECTEUR DE BRAS Il doit être de forme élancée de façon à ce que :

5 La protection supérieure du biceps n’excède pas 5,5 pouces

6 La protection inférieure du biceps n’excède pas 4,5 pouces

7 La protection supérieure de l’avant-bras n’excède pas 4,5 pouces

8 La protection inférieure de l’avant-bras n’excède pas 4 pouces

PROTECTEUR DE CLAVICULE

9 Épaisseur maximale de 1 pouce

10 Largeur maximale de 5,5 pouces, lorsque mesurée au niveau de la clavicule du joueur

11 Aucun prolongeme­nt au-delà de l’extrémité de l’épaule du joueur

12 Aucun prolongeme­nt sous l’aisselle

13 Aucun prolongeme­nt au-delà de la limite du torse, sous la poitrine

14 Aucun prolongeme­nt vertical de plus de 2 pouces au-dessus de l’épaule, lorsque mesuré de façon latérale

15 Aucun prolongeme­nt vertical de plus de 1,5 pouce au-dessus de l’épaule, lorsque mesuré à partir du milieu de sa largeur

16 Aucun prolongeme­nt vertical de plus de 0,5 pouce au-dessus de l’épaule, lorsque mesuré à partir de son extrémité interne

PROTECTEUR D’ÉPAULE

17 Suivre la ligne de l’épaule du joueur sans devenir un prolongeme­nt de l’épaule

18 Aucun prolongeme­nt latéral de plus de 1,5 pouce à partir de l’épaule

La réglementa­tion permissive d’autrefois permettait aux gardiens de transforme­r leur plastron pratiqueme­nt à leur guise. L’ajout d’une protection plus épaisse sous les bras et au niveau des côtes, pour éviter d’être « traversé » par les rondelles, était une pratique courante. Même chose pour le protecteur de clavicule, dont le prolongeme­nt au-dessus des épaules donnait parfois aux hommes masqués l’allure d’Optimus Prime.

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