Dutrizac maintenant offert « sur mesure »
Les auditeurs de Dutrizac, à QUB radio, ont une nouvelle façon de consommer leur rendez-vous du matin. Dès lundi, la fonctionnalité Dutrizac sur
mesure permet aux gens de bâtir une émission à leur goût, en choisissant les segments qui les intéressent et en les écoutant dans l’ordre qui leur plaît ou de manière linéaire.
Offert sur la page d’accueil de l’application QUB radio, l’outil comporte l’onglet « Personnaliser », qui amène l’auditeur à sélectionner les contenus qu’il préfère — qu’il s’agisse des entrevues de Félix Séguin, des grains de sel d’actualité et de politique avec Mario Dumont, Rémi Nadeau ou Caroline St-Hilaire, de la chronique culturelle d’Anaïs Guertin-Lacroix ou des bulletins de nouvelles d’Alexandre Dubé — et de lancer sa liste de lecture.
Plus d’une heure de contenu sera disponible dès 6 h le matin, en semaine, et Benoît Dutrizac tient ensuite la barre de
Dutrizac en direct, de 7 h à 8 h, et chaque nouveau segment sera rendu disponible pour l’écoute sur mesure immédiatement après sa diffusion en ondes.
« On veut s’adapter au besoin des gens d’écouter ce qu’ils veulent, quand ils veulent, au moment où ils le veulent, exactement comme ils le font avec Spotify pour la musique, ou Club illico et Netflix pour la vidéo. On donne le contrôle aux gens, tout en gardant la saveur d’une émission d’information matinale », indique Mathieu Turbide, vice-président Contenus numériques chez Québecor.
PERTINENT
Les capsules offertes dans Dutrizac sur mesure sont préenregistrées la veille, en fin d’après-midi, et ne sont pas moins collées à l’actualité, jure Mathieu Turbide.
Pour ce faire, toutes les forces de Québecor Media, incluant Le Journal de Montréal et Le Journal de Québec, sont mises à contribution.
« Ce n’est pas du réchauffé, insiste Mathieu Turbide. La radio traditionnelle, en ce moment, se nourrit beaucoup du travail des journalistes des salles de presse. Nous, avec les grands quotidiens de Québecor, on est capables d’établir des liens avec nos collègues des journaux, dès la fin de la journée, pour avoir déjà effectué le travail qu’un recherchiste fait normalement à 5 h du matin. On prépare des contenus super pertinents pour le lendemain matin. »