Rêver de voile
Trop tôt pour parler de voile en prévision de la saison prochaine ? Pas s’il s’agit d’un rêve qui vous habitera joyeusement durant la saison froide.
La Foire de la voile, qui aura lieu le 9 novembre au Palais des congrès de Montréal, s’avère d’ailleurs une occasion unique pour s’informer et rencontrer des passionnés.
C’est aussi une bonne chose de penser à une formation, recommandée pour prendre le large, voire généralement requise pour faire la location. Il y a avantage à opter pour une école homologuée par Voile Québec, afin de vous assurer que les instructeurs sont bien formés pour enseigner et que les cours peuvent mener à l’obtention de brevets émis par Voile Canada.
EN DÉRIVEUR
Voici un aperçu de ce qu’il faut également savoir pour débuter, à partir d’une évaluation sommaire de Voile Québec. Si vous optez pour le dériveur, un petit voilier léger et vif, vous pouvez déjà vous amuser après une heure ou deux de cours dans un environnement contrôlé et surveillé.
Pour devenir autonome, ça peut prendre une trentaine d’heures de cours pratiques, réparties les week-ends par exemple. Pour une base solide, il faut y mettre davantage de temps, selon les aptitudes des participants, la météo et le type de plan d’eau.
EN QUILLARD
Si vous rêvez plutôt de partir à bord d’un voilier habitable, vous pourriez d’abord faire l’essai d’une journée ou deux d’initiation.
Vous aimeriez louer un voilier sans capitaine ? Il est alors suggéré de passer le cap des 60 heures de cours, la formation se faisant dans le plaisir. Certaines écoles offrent des formations dans le Sud, ce qui permet de commencer dès cet hiver.