MEILLEURS VOEUX POUR 2020
Si la période des Fêtes en est une de réjouissances et de bonheur pour les uns, elle peut aussi être difficile pour les autres. Dans la NFL, certaines équipes bouclent une année ponctuée de grandes déceptions. Que 2020 leur apporte le réconfort voulu !
L’année 2019 aura été synonyme d’adversité et d’échec pour des clubs qui n’ont manifestement pas répondu aux attentes.
Les premiers qui viennent à l’esprit sont les Rams, pourtant finalistes du dernier Super Bowl et dont l’horizon semblait occupé par un ciel clair et des herbes verdoyantes. Mais c’est trop souvent inévitabDle,sujonu e eduérfsaicto e m au mmelaetd ch e u-ltime prend lesxaiièrm sd e’ucnh e ovixilauint e octaulitd e uddoenr t nleie s reffets de lenrdeepmêcah in adg e ,vNeicllk e Bsons t ar, eosnstetnrtain s sp-endant de flonrm gs émleosi4s.9ers pour le mieux.
À PHpOrTeOuAvFPe, les Rams sont devenus les cinquièmes finalistes du Super Bowl dans les 10 dernières années à rater les séries, après les Broncos et les Panthers en 2016, les Ravens en 2013 et les Giants en 2012.
Cette équipe n’a jamais retrouvé son aplomb offensif après avoir été muselée par les Patriots en février dernier et enlève haut la main le titre peu enviable de déception de l’année.
Même si l’année 2020 dans un stade flambant neuf amène succès et sérénité à l’équipe, de déchirantes décisions s’annoncent pour cette organisation qui doit manoeuvrer sous un plafond salarial étouffant et avec peu de munitions au repêchage.
D’AUTRES CANDIDATS
Les Rams sont loin d’être seuls à attendre impatiemment la fin de 2019. À commencer par les Browns, qui sont demeurés incrustés dans leur étiquette de perdants, malgré des attentes élevées.
Baker Mayfield a régressé, Odell
Beckham n’a pas exercé l’impact attendu, Myles Garrett a fait un fou de lui et d’autres ajouts qui devaient changer la culture, comme celui de l’ailier défensif Olivier Vernon, ont fait « patate ».
Si les Rams s’avèrent la déception de l’année parce que leurs aspirations étaient légitimement élevées, les Browns ont de nouveau réussi à prouver que de croire en eux est un véritable acte de foi.
Que 2020 leur apporte un entraîneur-chef de caractère, capable de redresser la barque. Mayfield et sa bande ont besoin d’un guide, pas d’un ami.
Une revue des déceptions de l’année 2019 qui ne ferait pas de place aux tristes Chargers ne serait pas respectable. Cette équipe, qui est passée d’une fiche de 12-4 l’an dernier à 5-10 cette saison, devait en théorie continuer de chauffer les Chiefs dans la division Ouest.
La grève de Melvin Gordon, les revirements répétés de Philip Rivers et des blessures en défensive ont fait de 2019 l’année des horreurs. Que 2020 amène un regain de jeunesse au poste de quart et, qui sait, peut-être même quelques partisans…
DANS LE PIÈGE À OURS
Les Bears, après leur renaissance spectaculaire de 2018, ne pouvaient qu’attendre la suite en 2019. Dès le camp d’entraînement, plusieurs observateurs à Chicago évoquaient même le Super Bowl. Les Ours sont tombés dans le piège, leur attaque s’étant littéralement effondrée en passant du neuvième au 30e rang en termes de points marqués.
Tous ces champions de la déception peuvent néanmoins se consoler. Pour une 30e année de suite, au moins quatre équipes qui n’étaient pas des séries la saison précédente ont mérité leur billet. Cette fois, les Bills, 49ers, Packers et Vikings sont du lot. Tout n’est donc pas perdu pour 2020.