CE QU’ON A REMARQUÉ...
Les Panthers rouillés
Les troupiers de Joel Quenneville avaient les deux pieds dans la même bottine. Passifs dans leur territoire, ils ont offert au Tricolore plusieurs bonnes occasions de marquer dès le premier vingt. Nick Suzuki, Artturi Lehkonen et Tomas Tatar en ont profité pour marquer à forces égales.
Armia, c’est du sérieux
Depuis qu’il est revenu au jeu,
Joel Armia confirme que son éclosion du début de saison n’était pas que passagère. Son agressivité en fond de territoire a rendu les défenseurs des Panthers nerveux, les incitant à précipiter leurs décisions et commettre des erreurs. Quelques chances de marquer ont découlé de cette fougue. Sur le but de Suzuki, il a eu la présence d’esprit de rediriger instantanément le relais que lui avait fait Jeff Petry.
Relances rapides
Effectuer des relances rapides : il n’y a pas meilleure façon de prendre l’adversaire à contrepied. Le Canadien a utilisé cette stratégie à profusion en prenant le contrôle de la zone neutre tôt dans le match. Jamais le Tricolore n’a été empêtré dans son territoire, ce qui explique en grande partie pourquoi Carey Price n’a fait face qu’à 15 lancers, sur 29, à forces égales.
Poehling dans les gradins
Au diable le développement, il semble que Claude Julien priorise les victoires. Après Fleury et Kotkaniemi, Ryan Poehling pourrait être le prochain à obtenir son billet pour Laval. Hier, il a été laissé de côté.