Selon le Dr Christian Stapf, utiliser l’hydroxychloroquine permettrait de :
Sauter des étapes : « La phase 1 d’essai clinique a pu être omise, car la molécule utilisée était déjà connue et utilisée pour autre chose. On savait donc qu’elle n’allait pas rendre le patient malade. »
Économiser : « On peut la distribuer facilement à beaucoup de personnes, car elle n’est vraiment pas chère. Ça coûte 0,30 $ par comprimé au Canada. »
Faire tomber la panique : « Dans l’énervement, on s’accroche au moindre espoir et c’était une porte assez facile puisqu’on savait déjà que la molécule avait des propriétés anti-inflammatoires. »