CE QU’ON A REMARQUÉ...
Dans la face du gardien
Les Penguins avaient promis d’être plus insistants auprès de Carey Price. Ils ont tenu parole. Patric Hornqvist, dont c’est la spécialité, et Jake Guentzel ont foncé au filet dans l’espoir de s’emparer de retours de lancer à plusieurs occasions. La défense du Tricolore s’est quelque peu resserrée à compter de la deuxième période.
Deux fois plutôt qu’une
Ce n’est pas seulement une, mais deux punitions pour avoir eu trop de joueurs sur la patinoire qui ont été décernées aux hommes de Claude Julien au cours de la première période. Étrange, puisque sans la clameur des spectateurs, il ne doit pas y avoir de problème de communication. Treize fois cette saison le Canadien a écopé d’une punition mineure de banc, ce qui lui a valu le quatrième rang de ce classement peu recommandable.
Une boîte efficace
Les Penguins ont beau éprouver des ennuis en supériorité numérique, il faut tout de même souligner le travail de l’unité d’infériorité numérique du CH. La boîte était efficace. Généralement, les tirs sont venus de loin et les retours étaient bien dirigés par Carey Price. De plus, Phillip Danault a remporté quatre de ses six mises en jeu en territoire défensif pendant que des coéquipiers se trouvaient au cachot.
Domi en renfort
Pour soulager la charge de travail de Phillip Danault, grandement sollicité à court d’un homme, Claude Julien a envoyé Max Domi entre Tomas Tatar et Brendan Gallagher à quelques occasions.