Même enclavée, Dollard-Des Ormeaux rayonne
Avec ses multiples parcs où les citoyens peuvent s’adonner au plein air en pleine pandémie, la municipalité de Dollard-Des Ormeaux se taille une place de choix dans le classement des villes du bonheur.
Pour le maire de l’endroit, Alex Bottausci, il ne fait aucun doute que sa ville mérite sa place dans le baromètre des villes où il fait bon vivre de la firme Léger.
Cette ville enclavée sur l’île de Montréal s’est hissée à la troisième place du classement, derrière Shefford. (voir texte ci-contre)
« Ici, on a une belle qualité de vie. On a 32 parcs, des zones pour que les jeunes puissent jouer, pour faire du vélo ou se promener. […] Avec la pandémie, on a vu que c’était des endroits très prisés par les gens et qu’ils utilisaient chaque pied carré de nos espaces verts », explique fièrement M. Bottausci, qui est né et qui n’a jamais quitté Dollard-Des Ormeaux.
COMMUNAUTÉ TISSÉE SERRÉE
Selon lui, c’est particulièrement le parc du Centenaire, au coeur de la ville, qui permet d’offrir à la communauté un espace vert de choix et un lieu central de rencontres facilement accessible à tous.
Dollard-Des Ormeaux, principalement composée de maisons unifamiliales, permet aussi à ses 50 000 citoyens de ne pas forcément se sentir au coeur d’une aussi grosse ville que Montréal.
C’est aussi la communauté tissée serrée qui fait en sorte que le monde y est plus heureux, pense M. Bottausci.
« Au début de la pandémie, de nombreux bénévoles se sont attelés à appeler quotidiennement tous les aînés afin de briser l’isolement, mais aussi de les aider pour faire l’épicerie ou autre. C’est quelque chose qui a vraiment été au coeur de nos préoccupations », soutient-il.
Selon ce dernier, les citoyens sont aussi très impliqués dans sa ville et n’hésitent pas à proposer leurs idées pour améliorer la qualité de vie de tous.