Le Journal de Montreal

Ce qu’il a dit aussi…

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Pourquoi a-t-il dérogé de son plan en ne jouant pas chaque mois depuis décembre ?

« Je n’étais pas prêt. Mon corps et mon jeu non plus. Ce plan annoncé en novembre, c’était pour établir un rythme. Ça n’a pas fonctionné. J’espère que jusqu’avec les championna­ts majeurs prévus jusqu’à juillet, ça devrait fonctionne­r. »

Sa condition physique sur un parcours vallonné

« Ma cheville ne fait plus mal, car elle est soudée. C’est très bien avec les tiges insérées. Elle n’ira nulle part ! Mais c’est plutôt les autres parties de mon corps qui en subissent les conséquenc­es : le dos, les genoux, entre autres avec les longues marches. Il faut endurer. La douleur est quotidienn­e. C’est pourquoi je préfère quand il fait chaud et humide. Quant aux coups à exécuter, tous ceux qui ne sont pas du tertre représente­nt un défi. »

Résister à un 24e couperet de suite

« C’est la constance, la longévité et la façon de comprendre comment jouer ce parcours. C’est pourquoi on voit des joueurs de 50 et 60 ans résister au couperet et même des gars approchant les 50 ans rivaliser dans le haut du tableau. Il faut savoir comment jouer ce terrain. Mais il faut aussi exécuter. »

Capitaine à la Coupe Ryder 2025 à Bethpage ?

« On continue à discuter avec la PGA d’Amérique. Seth [Waugh, directeur général] et moi devons nous asseoir après le Masters. Je peux dire que je serai occupé pour les prochaines semaines. Je me concentre sur le Masters d’abord. »

Rory McIlroy peut-il compléter son Grand Chelem ?

« Sans aucun doute, il y arrivera à un moment ou un autre. Il est trop talentueux et il a encore beaucoup de temps devant lui. Reste maintenant à savoir quand il y arrivera. Il sera un grand champion du Masters un jour. Et ce pourrait être cette semaine. Il sait jouer ce parcours qui s’ajuste à ses yeux. »

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