5 films à voir à Vues d’Afrique
Plus de 140 films de tous les genres en provenance d’une quarantaine de pays sont au menu de la 40e édition du Festival international de cinéma Vues d’Afrique qui se déroulera du 11 au 21 avril au Méga-Plex Guzzo du Marché Central. Voici cinq longs métrages à ne pas manquer.
MARABOUT CHÉRI
La Côte d’Ivoire étant particulièrement à l’honneur cette année à Vues d’Afrique, c’est à ce film ivoirien, réalisé par Luis Marquès et Khady Touré, que revient l’honneur d’ouvrir le bal jeudi soir. Décrit comme une comédie romantique, Marabout chéri met en scène un couple d’Abidjan qui fait appel à un marabout pour résoudre ses problèmes financiers.
Le 11 avril à 18 h et le 14 avril à 16 h 15 UNE DES MILLE COLLINES
Trente ans après le génocide rwandais, le réalisateur belge Bernard Bellefroid donne la parole à des rescapés et à des génocidaires condamnés dans ce documentaire qui fait suite à son long métrage précédent, Rwanda, les collines parlent, sorti en 2006. Ce nouveau film s’intéresse particulièrement à la coexistence entre les familles de victimes et leurs anciens bourreaux, dans un petit village rwandais.
Le 13 avril à 14 h et le 20 avril à 18 h 15
PATRICK NORMAN AU RWANDA : LE DEVOIR DE MÉMOIRE
Patrick Norman l’ignorait, mais en 1994, en plein génocide, sa chanson Quand on est en amour touchait le coeur des Rwandais et servait de baume aux survivants et aux victimes du massacre des Tutsis. Trente ans plus tard, le chanteur s’est rendu sur place avec le réalisateur Charles Domingue pour aller à la rencontre du peuple rwandais.
Le 13 avril à 18 h
LA GROTTE SACRÉE
Ce film d’animation camerounais réalisé par Cyrille Masso et Daniel Minlo relate les aventures de deux jeunes hommes qui doivent se rendre dans une grotte sacrée cachée au fond de la forêt afin de trouver un remède pour guérir leur roi qui a été empoisonné par un de ses sujets.
Le 13 avril à 10 h 15
MON PÈRE N’EST PAS MORT
Lauréat du Grand Prix du Festival national du film de Tanger en novembre dernier, ce premier long métrage du réalisateur marocain Adil El Fadili revient sur un épisode douloureux de l’histoire du Maroc, les années de plomb, à travers le regard d’un enfant dont le père a disparu.
Le 20 avril à 20 h