La réalité du travail infirmier
Bravo à cette ex-employée du domaine de la santé qui remettait les pendules à l’heure sur la réalité du travail infirmier. Malgré qu’il existe certains infirmiers et certaines infirmières qui ne fonctionnent que quand ils ou elles sont forcés à le faire, la majorité donne son maximum.
Je le sais parce que je suis une usagère régulière de notre système de santé depuis plusieurs années à cause d’un problème récurrent qui m’a occasionné plusieurs chirurgies et m’a mise en position d’être témoin de failles dans le travail de plusieurs. Et comme quand on est malade on est dépendant de celles et ceux qui prennent soin de nous, on ne dit rien pour ne pas se les mettre à dos.
Mais ce groupe qui me semblait une minorité autrefois, semble grossir peu à peu, et causer du tort à l’ensemble de la profession infirmière. Est-ce à cause du « je, me, moi » qui a envahi la société en général et miné ce secteur en particulier ? Je ne sais.
Mais il ne faut jamais oublier que lorsqu’on est malade, alité dans un hôpital, on est particulièrement vulnérable. Et dans une telle position, on n’a pas le gros bout du bâton, et beaucoup moins de force pour se défendre. Je dis cela, malgré ma conscience que certains patients peuvent ambitionner.
Ce qui fait que je lève mon chapeau bien haut à tous celles et ceux qui oeuvrent dans le domaine hospitalier et qui ont la vocation. Tout ce beau monde rachète heureusement les brebis récalcitrantes.
« Bleuette » du Saguenay– Lac-Saint-Jean
Comme vous le soulignez, il y a du bon et du moins bon partout, et c’est toujours triste de voir que tout le monde est mis dans le même panier quand les choses vont mal dans un domaine en particulier. Je suis d’accord qu’il faut relever les travers d’un corps professoral, d’autant plus quand il est payé par les taxes assumées par les citoyens et citoyennes. Mais la nuance vaudra toujours mieux qu’une condamnation en bloc.
Un cancer en cadeau
Ces derniers temps, j’ai vu plusieurs lettres de votre Courrier qui faisaient état des affres que le cancer cause à notre population. Ça m’a donné l’élan pour vous faire part d’une conférence donnée par Mme Sophie Reis à laquelle j’ai assisté récemment.
C’est une personne admirable qui a elle-même traversé un cancer et qui démontre une énergie incroyable face à la maladie. Conférencière émérite, formatrice et professionnelle des communications, cette personne transmet une énergie communicative.
Par son livre Apprendre, comprendre et s’outiller pour agir, elle encourage toutes les personnes afin de les aider à guérir. En supplément, ce livre s’adresse à chacun et chacune dans les mains de qui il tombe, qu’il ou elle, soit ou pas, affecté(e) par cette maladie.
Pour vous en donner un aperçu, je signale que les chapitres sont divisés comme suit :
Partie 1 : Apprendre et vivre son cancer à sa façon.
Partie 2 : Comprendre pour prendre part à l’action.
Partie 3 : S’outiller en découvrant 100 conseils et thérapies complémentaires. Une partie à laquelle elle consacre 300 pages sur tous les soins alternatifs offerts (prise de conscience de la nature, les pouvoirs du rire et de s’en donner à coeur joie, aromathérapie, et j’en passe…).
Ce qui ajoute au plaisir de se procurer et de lire son livre qu’on peut facilement acheter au www.sophiereis.com, c’est qu’une partie des profits des ventes est remise à certains organismes tels que la Fondation québécoise du cancer. Denise
Merci de nous avoir communiqué ces informations plus que pertinentes. Le titre exact de son livre est Un cancer en cadeau et a été publié dernièrement aux Éditions Trécarré. En plus de faire partie des patientes ambassadrices de la Fondation du CHUM, Sophie Reis est maman de deux enfants, et surtout en rémission d’un cancer du sein foudroyant.