5 moments magiques de sa carrière
L’exceptionnel chanteur québécois a été au centre de plusieurs événements qui sont passés à l’histoire Nous pourrions prendre plusieurs pages pour souligner les moments forts de sa carrière, mais, s’il fallait en choisir cinq, ce serait ceux-ci.
Parution de l’album Écoute pas ça (1995)
On croyait ses meilleures années derrière lui, mais Jean-Pierre Ferland lance, à 61 ans, un album qui ajoutera de nouveaux classiques à un répertoire qui n’en manquait pas. Rapidement, la tendre et émouvante Une chance qu’on s’a devient le nouvel hymne des amoureux.
Parution de l’album Jaune (1970)
Dans la carrière de Jean-Pierre Ferland et dans l’univers de la musique québécoise, il y a un avant et un après l’album Jaune. Truffé de classiques tels que Le petit roi, Quand on aime on a toujours vingt ans et Le chat du café des artistes, ce disque a propulsé notre musique dans la modernité et fait de son auteur un immortel.
1fois5 (1976)
Dès l’année suivante, il est au coeur d’un autre spectacle mémorable de la Saint-JeanBaptiste. Sur le mont Royal, il fait équipe avec quatre grands, Gilles Vigneault, Claude Léveillée, Yvon Deschamps et Robert Charlebois. Le disque qui en a été tiré remporte, en 1977, le prix de l’Académie Charles-Cros.
Fête nationale (1975)
Point culminant d’un minifestival tenu sur cinq jours, le spectacle de Ferland marque l’histoire de la Fête nationale. Le petit roi s’entoure de 10 interprètes féminines, parmi lesquelles se trouve Ginette Reno, qui profite de l’occasion pour chanter une inoubliable version d’Un peu plus haut, un peu plus loin.
Sur les Plaines au 400e (2008)
Au rappel du spectacle de Céline Dion sur les plaines d’Abraham, lors du 400e de la ville de Québec, Jean-Pierre Ferland et la diva québécoise amorcent Un peu plus haut, un peu loin quand, surprise, Ginette Reno arrive sur scène. Pendant que Ferland regarde en retrait, les deux grandes voix donnent des frissons à la foule. « Ce spectacle est devenu mémorable à cause de cette prestation », confie celui qui était le patron des fêtes du 400e, Daniel Gélinas.