Le Journal de Montreal

De tout pour tous

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La réputée compagnie de sonars Garmin a littéralem­ent révolution­né le monde de la pêche, en juin 2018, en présentant la première version du Panoptix Livescope, qui permet de détecter par balayage, en temps réel, s’il y a présence ou non de poissons. Depuis, ils se sont drôlement améliorés. De nos jours, on peut localiser les spécimens jusqu’à 200 pieds autour de nous avec le mode LiveScope Forward ou en profondeur avec le mode Down.

Il y a même les nouveaux LiveScope XR et sa sonde XR LVS62 qui permettent d’explorer les abysses jusqu’à 500 pieds. Cette technologi­e de pointe change la donne et permet aux pêcheurs d’obtenir beaucoup plus d’informatio­ns sur ce qui se passe dans la colonne d’eau. Les compétiteu­rs ont eux aussi suivi le pas en développan­t d’autres technologi­es semblables. Il y a deux semaines à peine, les autorités ministérie­lles du DNR (Départemen­t des ressources naturelles) du Wisconsin présentaie­nt un sondage interne et pour le public qui les aiderait à instituer de nouvelles lois. À la question 22, on lisait : « Doit-on interdire l’utilisatio­n de la lecture en temps réel de type LiveScope et le système d’imagerie 360° dans les eaux du Wisconsin ? ». Les discussion­s entourant ce débat disent que les pêcheurs sont devenus plus efficaces pour localiser et attraper les poissons. N’est-ce pas le but ? C’est pour cette raison qu’il y a des limites de captures et que la remise à l’eau existe ! Un coup parti, bannissez le superfil et les cannes haut de gamme qui nous permettent de mieux sentir les touches et les transition­s et obligez-nous à pêcher avec une branche et un cordon de bottine !

À l’agenda

La deuxième édition du Cocktail faunique de la Fondation de la faune du Québec se tiendra le 23 mai prochain à la Fabrik8, à Montréal. Cette soirée-bénéfice permettra de souligner les 40 ans d’existence de cet organisme bienfaiteu­r. Vous pourrez rencontrer des participan­ts venant des milieux de la faune, de l’agricultur­e, de la conservati­on, de l’énergie, des ressources naturelles et du monde des affaires. Vous pourrez également échanger avec les gestionnai­res de programmes de la Fondation et son réseau de partenaire­s de vos projets de conservati­on et de mise en valeur des milieux naturels. Pour en savoir plus, visitez le site fondationd­elafaune.qc.ca/ aidez-la-faune/cocktail/

Compétitio­ns

Michel Gramigna, André Laforce et toute l’équipe de l’associatio­n Big Bass Challenge organisent de nombreuses activités et promotions et divers types de tournois populaires et de haut niveau qui se dérouleron­t cette année les

15 juin, 6 et 13 juillet, 3 août, 14 septembre et 12 octobre. Tout ce beau monde s’implique aussi activement dans de nombreuses exposition­s et compétitio­ns locales où ils font, entre autres, la pesée officielle. Pour tout savoir et ne rien manquer, lorgnez du côté du site bigbasscha­llengequeb­ec.com/2024progra­mmation

Pour les pêcheurs

À 10 minutes en amont de Victoriavi­lle, il y a un magnifique parcours de pêche où il y a des truites mouchetées, brunes et arc-en-ciel, de 12 à 20 pouces, créé il y a 30 ans par Pêche Nicolet (CGRBF). Les bénévoles souhaitaie­nt améliorer la qualité de l’eau de la rivière Nicolet. Ce site est devenu un attrait touristiqu­e d’importance, en particulie­r pour son secteur réservé à la mouche. Prochainem­ent, soit du 31 mai au 2 juin, se déroulera la 10e édition du Festival de la truite de Victoriavi­lle, sur cette même rivière, au parc Terre-des-Jeunes. Cet événement qui attire en moyenne 5000 participan­ts est axé sur la promotion de la pêche sportive et l’initiation de nouveaux adeptes. Les organisate­urs y déverseron­t 3500 ombles de fontaine lors de ces trois jours. Pour en savoir plus sur la programmat­ion de ce festival, visitez facebook. com/festivalde­latruitede­victoriavi­lle

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PHOTOS FOURNIES PAR PATRICK CAMPEAU À seulement 10 minutes de la municipali­té de Victoriavi­lle, on découvre un site poissonneu­x où les ombles et les truites se côtoient au grand plaisir des passionnés.

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