Le Journal de Quebec - Évasion

ASTUCES POUR MINIMISER LES RISQUES DE PERDRE SA VALISE

- LISE GIGUÈRE

Les dates sont réservées, les billets sont achetés, c’est le moment de préparer sa valise, mais comme des milliers de bagages sont perdus chaque année, si l’on s’occupait d’abord de la protéger ?

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Sur une grande feuille de papier, on inscrit son nom, adresse, courriel et/ ou son numéro de téléphone. On place ensuite cette feuille bien en évidence dans la pochette supérieure de façon à ce que ce soit la première chose que l’on voie en l’ouvrant.

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On choisit des étiquettes à bagages de bonne qualité qui ne risquent pas de se détacher ou de se déchirer pendant le transport, ce qui rendrait l’identifica­tion plus difficile en cas de perte.

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On se procure une ceinture de couleur qui enserre la valise. Non seulement elle permet de la repérer de loin, mais évite qu’en cas de bris il faille ramasser ses vêtements et sous-vêtements éparpillés sur le tapis à bagages.

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Si l’on utilise un cadenas, il faut absolument en choisir un approuvé par la TSA (Transporta­tion Security Administra­tion) qui permet aux douaniers de l’ouvrir sans le briser. De plus, il possède un indicateur intégré indiquant qu’il a été ouvert.

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À l’aide de son téléphone cellulaire, on photograph­ie sa valise en prenant bien soin que l’on voie bien la couleur et la marque. En cas de perte, il suffira de tendre son cellulaire à la personne qui remplira le formulaire au comptoir de réclamatio­ns.

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On privilégie les formes étranges et les couleurs vives, ce qui facilite l’identifica­tion sur le carrousel.

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Surtout, on ne place jamais AUCUN papier important ni AUCUN médicament dans sa valise.

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Une fois rendu à l’aéroport, après avoir imprimé les étiquettes électroniq­ues, on s’assure qu’elles sont attachées solidement à son bagage et qu’elles ne risquent pas d’être déchirées au cours du voyage.

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Même si une partie de cette étiquette est détachable et qu’on la conserve, on prend tout de même une photo en s’assurant de voir les numéros permettant d’identifier facilement son bagage. Avec la fatigue, le décalage et le stress inhérent à la perte d’un bagage, cette double précaution pourrait s’avérer bien pratique.

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Enfin, on ne laisse jamais ses bagages sans surveillan­ce, même pour un court instant. Un inconnu pourrait y glisser quelque chose ou ils pourraient être détruits.

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