Le Journal de Quebec - Évasion

BIEN VIVRE LA RELÂCHE

- LISE GIGUÈRE

L’année dernière, en période de relâche, l’aéroport de Montréal a accueilli plus 2,2 M de passagers. Avec un tel trafic, si l’on veut éviter le stress, il faut se montrer prévoyant. Voici quelques conseils, gracieuset­é des experts #MieuxVoyag­er de Sunwing.

■On s’enregistre en ligne pour s’assurer d’être assis tous ensemble dans l’avion. On peut aussi réserver ses sièges lors de l’achat des billets.

■Lors de la réservatio­n, on demande des commodités adaptées aux enfants, comme un lit d’enfant ou un lit escamotabl­e.

■On réserve ses sorties avant le départ, ce qui laisse moins de choses à organiser sur place.

■On informe les enfants sur la destinatio­n et ce à quoi ils peuvent s’attendre. Ça aidera à calmer les petits anxieux.

■On réserve son stationnem­ent en ligne ou son transport à l’avance.

■On s’inscrit aux notificati­ons électroniq­ues, ce qui permet d’être informé de toute modificati­on de vol.

■On télécharge des films et des jeux pour les enfants.

■On apporte des chargeurs supplément­aires et de nouveaux jouets/jeux pour occuper les petits voyageurs.

■On laisse les gros manteaux encombrant­s à la maison et l’on superpose plutôt des vêtements légers et chauds.

■Dans les bagages à main, on place des vêtements de rechange, au cas où surviendra­it un accident dans l’avion.

■Aussi dans les bagages à main, on prévoit les maillots. Ainsi, si la chambre n’est pas disponible à l’arrivée, on pourra tout de même profiter pleinement des installati­ons (piscines, jeux d’eau, plage).

■On vérifie qu’aucun bagage à main ne contient des contenants liquides de plus de 100 ml et on place tous les produits dans des sacs en plastique transparen­t.

■On encourage les enfants de tous âges à placer dans leur bagage à main tout ce dont ils pourraient avoir besoin.

■On apporte une poussette, même si l’enfant l’a abandonnée. Elle sera appréciée par les petites jambes qui auront moins de kilomètres à parcourir et pourra aussi servir pour les siestes à la plage ou dans des endroits achalandés.

■Si l’enfant a une doudou, on l’apporte afin que l’heure du coucher se passe en douceur.

■On prévoit du temps supplément­aire à l’aéroport, au moins 30 minutes.

■À destinatio­n, on se montre plus détendu en ce qui a trait à la routine, les repas, l’heure du coucher, etc. Après tout, les enfants aussi sont en vacances.

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