Ses collaborateurs commentent

The Lost Fingers :

«Nous avons arrangé la chanson Moi, j’suis qui? en s’inspirant du style jazz manouche comme on le fait depuis 2008 avec des hits populaires. [...] Hugo est un gars avec une voix riche, puissante et authentique. Il a une bonne intuition et est très talentueux.»

Alexandre Poulin :

«Étrangement, je dirais que Hugo est un gars réservé, plutôt introverti et aussi excessivement sensible. Inévitablement, ça fait une personne touchante de sincérité, habité d’une grande force, mais aussi de beaucoup de fragilité. C’est un gars qui est fait pour être un artiste et il est très inspirant quand vient le temps de lui écrire une chanson.»

Edgar Bori :

«J’ai participé à une chanson de l’album en écrivant les mots sur une musique de Hugo qui souhaitait, sans me l’imposer, que je traite de la procrastination, du fait que l’on veuille toujours remettre à demain ce qu’il serait préférable de faire aujourd’hui. C’est maintenant mission accomplie.»

Maryse Letarte :

«Comme artiste, Hugo me semble être très authentique. Il est fidèle à ce qu’il est. Il ne se prend pas pour ce qu’il n’est pas. Bref, vous ne le verrez pas arriver demain matin avec des mèches blondes et des skinny jeans, en chantant du new wave parce que ça revient à la mode. S’il n’est pas à l’aise avec quelque chose, il ne le fait pas. Il ne souhaite qu’être la meilleure version possible de lui-même.»

Alexandre Belliard :

«J’avais envoyé quelques pièces à Hugo et il a eu un coup de coeur pour Cité américaine. Je la conservais jalousement pour mon prochain album... Mais Hugo se l’est vraiment appropriée, il a même changé un peu le refrain et je dois dire que ça lui va très bien. Je suis très content du résultat.»

Daniel Boucher :

«J’ai écrit la chanson Tu

l’sais même pas. En studio, je lui ai suggéré d’essayer différentes façons de phraser certaines lignes et de choisir ce qu’il aimait le mieux. [...] Le coeur de Hugo est grand et bon. Ça ne court pas les rues.»