Le Journal de Quebec - Weekend

« PREMIER RENDEZ-VOUS GALANT »

-

Nous avons posé quelques questions à Maxim Martin sur ce qu’il faisait lors d’une première rencontre avec une demoiselle.

Ton genre d’activité ?

«J’essaie souvent de faire deux activités sur une première “date”, pas seulement un souper. J’aime bien prendre la main de la fille dès le premier soir, car il y a beaucoup d’énergie qui sort des mains. Une des “dates” les plus agréables que j’ai faites, c’était les trois “s”: ski, spa, sushi. Quand tu pratiques les trois premiers “s”, t’augmentes tes chances d’avoir le quatrième “s”!» (rires)

Parles-tu beaucoup ou tu laisses la fille parler ?

«Je suis une grande gueule, alors je parle beaucoup. Mais en général, une fille qui m’attire en est une qui a beaucoup de “parlotte”. Je sais aussi que c’est un défaut que nous avons, les artistes, de parler de nous souvent. C’est quelque chose à laquelle je fais attention sur une première rencontre. Mais forcément, on a un métier qui fascine un peu.»

Qui paie la facture ?

«Toujours moi. C’est arrivé quelques fois que les filles ont insisté et je ne vais pas me chicaner non plus. Mais je trouve qu’il n’y a rien qui rend plus mal à l’aise que de partager la facture sur une première rencontre. Même si je sais que je ne reverrai pas la fille, je paie la première fois. Par contre, ce que je n’aime pas, c’est lorsqu’une fille prend pour acquis que je vais payer l’addition à chaque fois que l’on sort, parce que je suis un artiste et que je suis forcément riche.»

Embrasses-tu le premier soir ?

«Oui. Mais ça dépend... J’ai vécu toutes les situations, comme le bec sec sur les joues. Je pense que le bec décide s’il y a une deuxième “date” ou pas. Il me semble qu’une bonne première rencontre se finit par le “mini-french”.»

Combien de jours attends-tu avant de la rappeler ?

«La fameuse règle du “trois jours”, je trouve ça ridicule. Je rappelle le lendemain. S’il y a le moindremen­t des étincelles, il faut que tu gardes le feu allumé. Aujourd’hui, avec Facebook et Tinder, c’est un bon défi car ça devient vite éphémère. On passe rapidement à un autre appel.»

Newspapers in French

Newspapers from Canada