Le Journal de Quebec - Weekend
REFUSER UN FÉLIX
Une Céline bouleversée, lors du Gala de l’ADISQ à l’automne 1990. Elle avait dû refuser le trophée que lui décernait l’industrie, puisque ce prix était attribué à « L’artiste anglophone de l’année ». Même si elle connaissait alors ses premiers grands succès en anglais aux États-Unis, la chanteuse voulait être reconnue en tant qu’artiste québécoise francophone.